Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
« Eco » : Alassane Ouattara ne veut pas de rupture brutale avec le trésor français
16 juillet 2019, 11:17, par
Sacksida
D’abord, il faut souligner que sous la Revolution le President Thomas Sankara en 1986 ou 1987 a participe au sommet de la CEDEAO ou le nom de cette monnaie "Eco" a ete adopte et donc cela ne date pas d’aujourd’hui. Dire que vouloir creer la monnaie avec un taux de change flexible ou souple serait tromper les africains de la CEDEAO ? Si nous demerons dans ce fameux CFA arrime a l’Euro dont les bases de fixation sont des donnees de l’economie europenne, nous ne seront pas du tout competitifs et dans 100 ans nous ne seront toujours pas industrialises. C’est cela la verite. En outre, si Thomas Sankara etait vivant, face au laxisme et aux tergiversations des pays de l’Uemoa, il y’a bien longtemps que nous avions notre monnaie nationale et par consequent nous serions plus emergent que le Burkina Faso, ne l’est aujourd’hui. A bas le neocolonialisme ! A bas les exploitateurs et leurs relais. En avant pour une veritable independance economique et monetaire. Courage et Salut.
D’abord, il faut souligner que sous la Revolution le President Thomas Sankara en 1986 ou 1987 a participe au sommet de la CEDEAO ou le nom de cette monnaie "Eco" a ete adopte et donc cela ne date pas d’aujourd’hui. Dire que vouloir creer la monnaie avec un taux de change flexible ou souple serait tromper les africains de la CEDEAO ? Si nous demerons dans ce fameux CFA arrime a l’Euro dont les bases de fixation sont des donnees de l’economie europenne, nous ne seront pas du tout competitifs et dans 100 ans nous ne seront toujours pas industrialises. C’est cela la verite. En outre, si Thomas Sankara etait vivant, face au laxisme et aux tergiversations des pays de l’Uemoa, il y’a bien longtemps que nous avions notre monnaie nationale et par consequent nous serions plus emergent que le Burkina Faso, ne l’est aujourd’hui. A bas le neocolonialisme ! A bas les exploitateurs et leurs relais. En avant pour une veritable independance economique et monetaire. Courage et Salut.