13 juillet 2019, 13:54, par
Bernard Luther King ou le Prophete Impie
Ceux qui invoquent les lois et les textes doivent savoir que les lois n’ont pas existé avant l’histoire humaine. Nos institutions (Etat, Justice, etc.) doivent se mettre à jour vis-a-vis des exigences de societalité au lieu d’en être encore au stade de la vocation regalienne. Les malades ont des droits et des dispositions devraient être prise bien avant (2 mois) l’expulsion officielle pour permettre aux malades hospitalisés de se preparer : obligation d’information par malade hospitalisé. Quelque soit les bonnes raisons d’une telle expulsion et en s’en tenant aux relations de fait connus, je maintiens que c’est une honte d’echelle societale que de ravaler des malades hospitalisés au rang de degats collateraux. Cette responsabilité revient aux Autorités (Justice, Ministère de la Santé etc .), à l’Autorité Nationale de la Santé si elle existe au Burkina et non au debiteur (clinique).
Dans tous les cas, il faut prendre note : l’insecurité (en de celle dejà existante) au Burkina Faso est monté d’un autre cran. Desormais, n’importe qui hospitalisé dans une clinique doit s’attendre à être expulsé et forcé à l’exil sanitaire. Siou plait, Koro Django Justice, pourriez-vous nous donner la liste des cliniques et polycliniques à risque !
L’opinion publique sanitaire a droit à l’information sur cette affaire. Bravo au "Doing Business" au "Pays des Hommes Dits Intègres".
Ceux qui invoquent les lois et les textes doivent savoir que les lois n’ont pas existé avant l’histoire humaine. Nos institutions (Etat, Justice, etc.) doivent se mettre à jour vis-a-vis des exigences de societalité au lieu d’en être encore au stade de la vocation regalienne. Les malades ont des droits et des dispositions devraient être prise bien avant (2 mois) l’expulsion officielle pour permettre aux malades hospitalisés de se preparer : obligation d’information par malade hospitalisé. Quelque soit les bonnes raisons d’une telle expulsion et en s’en tenant aux relations de fait connus, je maintiens que c’est une honte d’echelle societale que de ravaler des malades hospitalisés au rang de degats collateraux. Cette responsabilité revient aux Autorités (Justice, Ministère de la Santé etc .), à l’Autorité Nationale de la Santé si elle existe au Burkina et non au debiteur (clinique).
Dans tous les cas, il faut prendre note : l’insecurité (en de celle dejà existante) au Burkina Faso est monté d’un autre cran. Desormais, n’importe qui hospitalisé dans une clinique doit s’attendre à être expulsé et forcé à l’exil sanitaire. Siou plait, Koro Django Justice, pourriez-vous nous donner la liste des cliniques et polycliniques à risque !
L’opinion publique sanitaire a droit à l’information sur cette affaire. Bravo au "Doing Business" au "Pays des Hommes Dits Intègres".
Le droit des malades hospitalisés ou rien !