Accueil > ... > Forum 1606924

Bras de fer entre la Clinique les ’’ Genêts ’’ et la Société générale Burkina Faso (SG-BF) : « Je puis vous certifier que cette maison est à nous et elle le restera » Dr Paul Stanislas Zoungrana, (DG de la clinique les Genêts)

13 juillet 2019, 09:12, par Mimtiiri

"Les gens sont simplement pathétiques et ce n’est qu’au Burkina Faso qu’on rencontre de tels comportements" Dans les Affaires, ni les sentiments, ni les "Relations personnelles avec des Autorités soit politiques, soit avec des Magistrats ou encore avec des Cadres FDS n’ont pas leurs raisons d’être. Le Banquier n’est rien d’autre qu’un Commerçant avec lequel "tout est possible pour peu qu’on y mette la manière", c’est-à-dire des négociations jusqu’à des Procès sont réalisables. Malheureusement, les demandeurs de financements pour la réalisation de leurs projets, la couverture de leurs besoins, sont tellement pressés d’atteindre leurs objectifs qu’ils ne prennent pas le temps "d’envisager les points d’hypothèses probables (positifs /négatifs) au moment de la signature du/des contrats de Financement pour en discuter avec leur Banquier qui, ne vous en doutez pas, connaissent les pièges qui s’y trouvent et qui le mettent lui banquier) plus à l’abri des risques de pertes dans la transaction, n’en déplaise au client. Le Banquier est donc un Commerçant comme les autres avec tous les comportements et attitudes que l’on connait ou que l’on puisse imaginer dans l’exercice de leur profession légale.

Le Dr. ZOUNGRANA et sa famille, pour ce qui est de cette Affaire qui défraie la chronique quoique restant propriétaire légitime du Bâtiment qui abrite leur Clinique et probablement certains des Equipements de celle-ci, eux (proprios) n’étant rentrés au pays qu’avec simplement leurs connaissances, expériences et diplômes, sans en connaitre le fonds du dossier, ont manqué de discernement lors des négociations des financements. Mieux, lors de la confection du Plan d’Affaire (Etude de faisabilité), le Consultant qui en a eu la charge a dû manquer d’objectivité dans ses évaluations car, n’ayant certainement pas envisagé les "périodes fastes" et les "périodes de maigres moissons" de l’Exploitation de la Clinique en se limitant (selon notre compréhension) à présenter au Promoteur et au Banquier, la "bonne Faisabilité" du Projet pour (pourquoi pas) se faire bien apprécier par les parties contractantes. D’où le couac actuellement vécu par la famille ZOUNGRANA.

Pourtant, face à de probables difficultés que pourraient rencontrer l’Exploitation au cours de sa vie sociale qui restent dans la logique de Gestion des Entreprises, toutes négociations sont toujours et restent possibles pour peu que l’Exploitant face à son créancier soit et reste honnête ; ce dernier n’ayant absolument rien à gagner dans les "Réalisations des garanties" à lui offertes lors de la signature du Contrat devant mener à la mise en place des fonds par lui demandés. La Banque gagne plus en spéculant sur ses fonds (utilisation et réutilisation de son argent pour continuer de financer) que de saisir, vendre ou faire vendre un Immeuble. C’est vrai que dans notre pays, certains Banquiers avec l’esprit malhonnête sont passés par cette voie pour s’enrichir personnellement. Mais cela sort de la déontologie de la profession de Banquier. Ce ne devra pas être le cas de la SGB-F qui n’en a rien à cirer avec l’Immeuble des ZOUNGRANA. Les Lois malheureusement ne sont pas jongleuses selon les désidéras des clients qui ne répondent pas toujours aux logiques juridiques et bancaires. Et çà, les ZOUNGRANA devraient le comprendre. Plutôt que de se confier à des Avocats (généralement incompétents dans notre pays qui connaissent très peu le Droit Commercial et Bancaire) qu’ils ont (actuellement) qu’ils (avocats) vont les en spolier, la famille ZOUNGRANA feraient mieux d’utiliser cet argent pour diminuer leur créance et par cette acte, maintenir la confiance entre eux. Cela aurait été un Gage de confiance. La famille ZOUNGRANA ferait mieux de baisser la voix et engager de sérieuses négociations avec son Banquier pour trouver les solutions nécessaires à aplanir leur divergence. Tout est encore possible. "La Confiance est et reste le point premier dans "les Techniques bancaires et de financement" La famille ZOUNGRANA devrait le comprendre. La perdre, c’est foutre toute une vie bâtie sur cette méthode à l’eau.

C’est en toute amitié pour cette Clinique dont nous avons bénéficié directement et indirectement de ses prestations qui sont de qualité que nous engageons cette situation pour attirer l’attention des ZOUNGRANA. Ce sera peine perdue que d’engager un bras de fer de ce genre car les Lois et Textes restent en faveur du créancier. Lisez-nous et comprenez-nous bien. UN AMI.


LeFaso.net
LeFaso.net © 2003-2023 LeFaso.net ne saurait être tenu responsable des contenus "articles" provenant des sites externes partenaires.
Droits de reproduction et de diffusion réservés