Clinique "Les genêts" : Le directeur général dénonce "une volonté de nuire" de la part de la SGBF
12 juillet 2019, 18:37, par
Kankelen
".....l’émotion est nègre"
Quitter dans l’émotion et soyez rationnel. Une banque fait du business et la clinique aussi. M. ZOUNGRANA a crée sa clinique pour se faire du fric, sinon il serait fonctionnaire et était entrain de travailler dans les hôpitaux publics. Il a fait endetter sa clinique, jusqu’à l’hypothéquer pour l’équiper. En retour, il devait rembourser la banque. Il ne l’a pas fait malgré les différentes propositions. Maintenant qu’il n’a pas honoré ses engagements, il doit assumer.
Vous tous qui êtes dans l’émotion, je présume que vous n’êtes pas nombreux à refuser de payer vos crédits auprès de vos différentes banques. Alors pourquoi une entreprise aussi prospère que la Clinique "Les Génets" le ferait-il ? L’État n’a rien à avoir dans ça. Il a ses hôpitaux dont il peine déjà à faire bien fonctionner. Les patients qui étaient dans cette clinique peuvent trouver secours dans une autre clinique. Ce ne sont pas des sans-culotte comme moi.
".....l’émotion est nègre"
Quitter dans l’émotion et soyez rationnel. Une banque fait du business et la clinique aussi. M. ZOUNGRANA a crée sa clinique pour se faire du fric, sinon il serait fonctionnaire et était entrain de travailler dans les hôpitaux publics. Il a fait endetter sa clinique, jusqu’à l’hypothéquer pour l’équiper. En retour, il devait rembourser la banque. Il ne l’a pas fait malgré les différentes propositions. Maintenant qu’il n’a pas honoré ses engagements, il doit assumer.
Vous tous qui êtes dans l’émotion, je présume que vous n’êtes pas nombreux à refuser de payer vos crédits auprès de vos différentes banques. Alors pourquoi une entreprise aussi prospère que la Clinique "Les Génets" le ferait-il ? L’État n’a rien à avoir dans ça. Il a ses hôpitaux dont il peine déjà à faire bien fonctionner. Les patients qui étaient dans cette clinique peuvent trouver secours dans une autre clinique. Ce ne sont pas des sans-culotte comme moi.