L’opérateur économique et homme politique Ousséni Nacambo déposé à la MACO
10 juillet 2019, 11:11, par
sotigui de bobo
Je réfère tout le monde à l’interview de l’imminent avocat Maître Prosper Farama, réalisée dans la semaine par Libre info. Il a très bien restitué le Burkina actuel. Ce que je retiens de cet article est que le piège politique tendu a bien pris les Burkinabè, la grande partie je veux dire. Lorsqu’on prend un individu, il ne manque jamais de reproche à lui faire. Autrement, chacun de nous, autant que nous sommes, avons manqué d’une manière ou d’une autre à une obligation dans notre vie professionnelle et sociale qui peut être condamnable. Donc, lorsqu’on prend quelqu’un c’est facile de lui trouver une faute. Dans cette situation et dans un environnement politique pourri s’asseoir derrière son clavier pour dire de laisser la justice faire et ne pas s’interroger en fonction des faits en présence est un succide collectif pour notre société. Il faut plutôt encourager ceux qui s’interrogent sur ce qui semble évident. Tout le monde sait que pour des postes électifs des gens sont emprisonnés dans ce pays pour des mêmes faits pour lesquels certains se la coulent douce. C’est lâche de se réfugier derrière des arguments de laisser la justice faire. Qui veille alors sur la justice ? Courage à nos vaillants journalistes qui essaient de bousculer et faire bouger les lignes.
Je réfère tout le monde à l’interview de l’imminent avocat Maître Prosper Farama, réalisée dans la semaine par Libre info. Il a très bien restitué le Burkina actuel. Ce que je retiens de cet article est que le piège politique tendu a bien pris les Burkinabè, la grande partie je veux dire. Lorsqu’on prend un individu, il ne manque jamais de reproche à lui faire. Autrement, chacun de nous, autant que nous sommes, avons manqué d’une manière ou d’une autre à une obligation dans notre vie professionnelle et sociale qui peut être condamnable. Donc, lorsqu’on prend quelqu’un c’est facile de lui trouver une faute. Dans cette situation et dans un environnement politique pourri s’asseoir derrière son clavier pour dire de laisser la justice faire et ne pas s’interroger en fonction des faits en présence est un succide collectif pour notre société. Il faut plutôt encourager ceux qui s’interrogent sur ce qui semble évident. Tout le monde sait que pour des postes électifs des gens sont emprisonnés dans ce pays pour des mêmes faits pour lesquels certains se la coulent douce. C’est lâche de se réfugier derrière des arguments de laisser la justice faire. Qui veille alors sur la justice ? Courage à nos vaillants journalistes qui essaient de bousculer et faire bouger les lignes.