Echéances 2020 au Burkina : Trois scénarios envisagés par WANEP-Burkina
5 juillet 2019, 13:50, par
Lam
Décidément, la France a la rancune tenace contre le peuple insurgé du Faso. Ce rapport d’ICG tombe au moment où, une visite annoncée pour le 04 juillet de la ministre de la défense française à Ouagadougou n’a pas eu lieu et on ne sait pas trop pourquoi ? Connaissant cette ONG de francs maçons, en faite de rapport, il s’agit d’une menace pure et simple. Autrement dit, la lettre de mission suggérée aux autorités Burkinabé est claire : faite la réconciliation pour relâcher tous nos amis en faute, et modifier le code électoral pour leur permettre de participer aux élections. Au cas échéant, nous allons davantage souffler sur la braise. Parce que la France n’entend pas continuer à jouer les seconds rôles au Burkina. Raison pour laquelle Florence Parly voulait effectuer le déplacement de Ouagadougou un 04 juillet, jour de l’indépendance des USA, pour donner un signal fort à qui de droit.
Rappelez-vous le rapport ICG du 23 septembre 2016 intitulé : "Coexistence religieuse au Burkina : Les regards de l’International Crisis Croup". Dans ce rapport, ICG, une ONG de droit français s’était adonné à cœur joie à la statistique identitaire, une pratique pourtant interdite par la législation française, qui la rend passible de peine d’emprisonnement. Depuis ce fameux rapport, on assiste de plus en plus à une tuerie de chrétiens.
Cette sortie ne présage donc pas du bon pour la sécurité au Burkina, si toutefois les recommandations d’ICG ne sont pas suivies à la lettre.
Décidément, la France a la rancune tenace contre le peuple insurgé du Faso. Ce rapport d’ICG tombe au moment où, une visite annoncée pour le 04 juillet de la ministre de la défense française à Ouagadougou n’a pas eu lieu et on ne sait pas trop pourquoi ? Connaissant cette ONG de francs maçons, en faite de rapport, il s’agit d’une menace pure et simple. Autrement dit, la lettre de mission suggérée aux autorités Burkinabé est claire : faite la réconciliation pour relâcher tous nos amis en faute, et modifier le code électoral pour leur permettre de participer aux élections. Au cas échéant, nous allons davantage souffler sur la braise. Parce que la France n’entend pas continuer à jouer les seconds rôles au Burkina. Raison pour laquelle Florence Parly voulait effectuer le déplacement de Ouagadougou un 04 juillet, jour de l’indépendance des USA, pour donner un signal fort à qui de droit.
Rappelez-vous le rapport ICG du 23 septembre 2016 intitulé : "Coexistence religieuse au Burkina : Les regards de l’International Crisis Croup". Dans ce rapport, ICG, une ONG de droit français s’était adonné à cœur joie à la statistique identitaire, une pratique pourtant interdite par la législation française, qui la rend passible de peine d’emprisonnement. Depuis ce fameux rapport, on assiste de plus en plus à une tuerie de chrétiens.
Cette sortie ne présage donc pas du bon pour la sécurité au Burkina, si toutefois les recommandations d’ICG ne sont pas suivies à la lettre.
Sans rancunes !
Lam