Situation des déplacés internes : ’’Ouagadougou n’a pas les commodités nécessaires pour les abriter", Laurence Ilboudo
22 juin 2019, 16:14, par
Le Roi
J’essaie de comprendre les propos de dame Ilboudo mais c’est pas simple . On est pas obligé de vivre à Ouagadougou , comme le disait Simon Compaoré ; mais dans ce cas-ci , nous avons à faire à une population qui est victime de deux fléaux : d’une part le terrorisme , et de l’autre la mal gouvernance avec une bande de dirigeants incapables des sauvegarder le moindre cm2 du pays alors qu’ils ont juré de le faire.
A mon avis , les besoins d’un être humain ne peuvent se résumer au gîte et au couvert , il a en outre besoin d’un cadre pour s’épanouir et malheureusement , un camp de réfugiés internes dans ce Burkina qui expérimente pour la première fois la gestion du problème , ne peut , à l’état actuel des choses constituer ce rempart .
Alors , Dame Ilboudo , nous vous avons vu sous la pluie , à minuit , entrain de ramasser les enfants de la rue alors que personne ne vous l’avait demandé , pas même vos collègues . Alors faites - en de même pour nos frères et nos soeurs qui ne sont pas venus à Ouaga par plaisir de découvrir les ampoules de la SONABEL . . .
J’essaie de comprendre les propos de dame Ilboudo mais c’est pas simple . On est pas obligé de vivre à Ouagadougou , comme le disait Simon Compaoré ; mais dans ce cas-ci , nous avons à faire à une population qui est victime de deux fléaux : d’une part le terrorisme , et de l’autre la mal gouvernance avec une bande de dirigeants incapables des sauvegarder le moindre cm2 du pays alors qu’ils ont juré de le faire.
A mon avis , les besoins d’un être humain ne peuvent se résumer au gîte et au couvert , il a en outre besoin d’un cadre pour s’épanouir et malheureusement , un camp de réfugiés internes dans ce Burkina qui expérimente pour la première fois la gestion du problème , ne peut , à l’état actuel des choses constituer ce rempart .
Alors , Dame Ilboudo , nous vous avons vu sous la pluie , à minuit , entrain de ramasser les enfants de la rue alors que personne ne vous l’avait demandé , pas même vos collègues . Alors faites - en de même pour nos frères et nos soeurs qui ne sont pas venus à Ouaga par plaisir de découvrir les ampoules de la SONABEL . . .