Situation des déplacés internes : ’’Ouagadougou n’a pas les commodités nécessaires pour les abriter", Laurence Ilboudo
22 juin 2019, 15:22, par
Peuple insurgé
Je pense qu’il est nécessaire que les autorités initient ou appuient, de façon franche, des concertations avec toutes personnes ressources et responsables coutumiers et religieux dans les régions en proie aux violence afin de voir comment sortir de ce cycle de violence. On pourra ressouder les liens entre les communautés qui ont volés en éclats après les évènements de Yirgou, Kain et Arbinda. Sans cohésion sociale, nous donnons un avantage à l’ennemi. La stigmatisation, les exécutions sommaires, etc. sont une aubaine pour les terroristes. Dans une guerre, il faut avoir la population (toute la population) de la zone de guerre pleinement de son côté. Et cela suppose des actes de nature à rassurer tous ceux qui ne sont pas dans les rangs des terroristes. Cela suppose une finesse dans le renseignements. A mon avis c’est la seule voie pour permettre aux populations de vivre tranquille dans leurs villages.
Je pense qu’il est nécessaire que les autorités initient ou appuient, de façon franche, des concertations avec toutes personnes ressources et responsables coutumiers et religieux dans les régions en proie aux violence afin de voir comment sortir de ce cycle de violence. On pourra ressouder les liens entre les communautés qui ont volés en éclats après les évènements de Yirgou, Kain et Arbinda. Sans cohésion sociale, nous donnons un avantage à l’ennemi. La stigmatisation, les exécutions sommaires, etc. sont une aubaine pour les terroristes. Dans une guerre, il faut avoir la population (toute la population) de la zone de guerre pleinement de son côté. Et cela suppose des actes de nature à rassurer tous ceux qui ne sont pas dans les rangs des terroristes. Cela suppose une finesse dans le renseignements. A mon avis c’est la seule voie pour permettre aux populations de vivre tranquille dans leurs villages.