Procès du putsch : Le Parquet militaire requiert la prison à vie pour les généraux Gilbert Diendéré et Djibril Bassolé

Ka, je pense que vous êtes déçu de cette réquisition à l’amiable, en dehors les deux généraux que le parquet va en guerre. Le reste s’en sort bien. Le journaliste Damiss est aussi mal loti du parquet ainsi que le juriste Mamandou. Le colonel Kièré doit remercier le bon Dieu pour sa réquisition, mais les responsables du putsch c’est-à-dire les exécutants doivent demander la réconciliation nationale de tous leur vœux.
Quand aux deux généraux c’est quand même la peine maximale en dehors de leur destitution de garde souhaiter par le parquet. Maintenant nous sommes situés de ce procès, et je suis étonné une justice militaire à double vitesse. Quatre ans après, il y aura des gens avec un bonus de gratification et d’autres un malus avec des régressions.
Je pense que notre ami ne voudrait pas d’en parler les histoires de personnage réels en suisse. Il doit tout de même se calmer comme un grand garçon. Il a mal compris notre démarche et pense que nous voulons nous faire voir. Il ose nous dire de lui foutre la paix avec notre échange personnelle. Il est même le prototype de la jeune génération burkinabè ingrat.
Je suis déçu de cette justice, mais soulage pour le Gal Diendéré qui doit expérimenter la vie prisonnier à vie, même si plus tard il pourrait être gracié par un PF, sa fin n’a pas été glorieux. Mais il sort avec la tête haute d’avoir affronter la justice militaire dont il a contribuer à construire une prison moderne et soutenu des textes quand il était chef d’état major. Il aura quand même une conscience pure et payer sa dette. il reste quand un personnage à admirer lui qui pouvait accepter toute les proposition et mettre en guerre. Je pense que les burkinabè ne se rendent pas compte du rôle qu’il a jouté pour limiter les mort.