Charbon fin : Le procédé de traitement expliqué par Essakane IAMGOLD SA
3 juin 2019, 13:10, par
Maria de Ziniaré
Ça me rapelle cette histoire de prétendu fraude douanière de l’ONATEL lors de l’opération de fusion-absorption entre Telmob et ONATEL SA. Bien que la CNI (Comité National des Investissements) la seule structure » habilitée à traiter des questions liées aux avantages sur le régime d’investissements ait donné raison à l’ONATEL, les exités du RENLAC ont continué à ruer sur des brancards pour exiger de plumer l’ONATEL de plus de 10 milliards au lieu de reconnaître la légèreté de ses accusations. Résultat des courses la montagne a accouché d’une souris et l’ONATEL n’a payé aucun kopeck malgré les insinuations du journal Confidentiels. Dans ce cas précis la douane qui est partie prenante dans la procédure d’exportation a donné son quitus et des gabelous de la brigade nationale anti fraude ( BNAF) de Banfora qui pensent toucher le jackpot de leur vie ( au sein des Douanes, l’agent qui découvre une fraude a droit à environ 24% du montant des pénalités et le reste est versé dans les différents fonds internes) bloque tout. Comme je le rappelle souvent le Burkina est devenu un gibier abattu et chaque groupuscule ( djiadistes, syndicats gloutons et insatiables , bandits de grands chemins, politiciens mafieux sans morale, douanier récompensé à la commission ) aiguise son couteau pour venir dépecer son morceau. Cette seconde montagne du RENLAC accouchera encore d’une souris.
Ça me rapelle cette histoire de prétendu fraude douanière de l’ONATEL lors de l’opération de fusion-absorption entre Telmob et ONATEL SA. Bien que la CNI (Comité National des Investissements) la seule structure » habilitée à traiter des questions liées aux avantages sur le régime d’investissements ait donné raison à l’ONATEL, les exités du RENLAC ont continué à ruer sur des brancards pour exiger de plumer l’ONATEL de plus de 10 milliards au lieu de reconnaître la légèreté de ses accusations. Résultat des courses la montagne a accouché d’une souris et l’ONATEL n’a payé aucun kopeck malgré les insinuations du journal Confidentiels. Dans ce cas précis la douane qui est partie prenante dans la procédure d’exportation a donné son quitus et des gabelous de la brigade nationale anti fraude ( BNAF) de Banfora qui pensent toucher le jackpot de leur vie ( au sein des Douanes, l’agent qui découvre une fraude a droit à environ 24% du montant des pénalités et le reste est versé dans les différents fonds internes) bloque tout. Comme je le rappelle souvent le Burkina est devenu un gibier abattu et chaque groupuscule ( djiadistes, syndicats gloutons et insatiables , bandits de grands chemins, politiciens mafieux sans morale, douanier récompensé à la commission ) aiguise son couteau pour venir dépecer son morceau. Cette seconde montagne du RENLAC accouchera encore d’une souris.