Planning familial : « Ces ONG génocidaires agissent contre nos populations », dixit l’abbé Anatole Tiendrébéogo
2 mai 2019, 13:17, par
Enfant de boussé
On n’est pas prêt de s’en sortir avec de pareils discours ;
Concernant le cancer du col de l ’utérus.
Le principal facteur de risque : le papillomavirus humain ou HPV
Le cancer du col de l’utérus est principalement dû à une infection persistante (d’une durée de 10 à 15 ans) par des virus appelés papillomavirus humain virus du papillome humain ou HPV.
L’infection par un virus HPV est très courante (80% des femmes sont infectées au moins une fois dans leur vie) et guérit le plus souvent spontanément. Mais dans 10 % des cas, le virus persiste.
La transmission du virus se fait par contact avec la peau et les muqueuses, le plus souvent lors de rapports sexuels, avec ou sans pénétration. C’est pourquoi le préservatif, s’il permet de limiter le contact avec le virus, ne peut toutefois pas assurer une protection complète.
On n’est pas prêt de s’en sortir avec de pareils discours ;
Concernant le cancer du col de l ’utérus.
Le principal facteur de risque : le papillomavirus humain ou HPV
Le cancer du col de l’utérus est principalement dû à une infection persistante (d’une durée de 10 à 15 ans) par des virus appelés papillomavirus humain virus du papillome humain ou HPV.
L’infection par un virus HPV est très courante (80% des femmes sont infectées au moins une fois dans leur vie) et guérit le plus souvent spontanément. Mais dans 10 % des cas, le virus persiste.
La transmission du virus se fait par contact avec la peau et les muqueuses, le plus souvent lors de rapports sexuels, avec ou sans pénétration. C’est pourquoi le préservatif, s’il permet de limiter le contact avec le virus, ne peut toutefois pas assurer une protection complète.