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Lutte contre le terrorisme : Roch Kaboré « réchauffe » la recette de la négociation avec les groupes armés

24 avril 2019, 17:12, par Ka

Taali : Arrête ton charabia des maquis de la capitale : Pour l’instant rien ne confirme cette analyse. Tout dont je vais te demander, évite de salir Dieu ou son fils dans tes critique débiles. L’homme que tu crois un agneau qui va se jeter dans la gueule de ces prédateurs qui est Roch Kaboré, tu n’es qu’un bleu, et tu ne connais pas l’homme. Il y a une grande différence entre le jeune économiste que j’ai connu à Dijon et après avoir travaillé à ses côtés durant plus de 30 ans, et avec l’introverti que j’ai connu au lycée et travaillé à ses côtés plus de 35 ans. Non ne compte pas voir ces punaises prendre un thé a Kosyam, car Roch Kaboré ne laissera pas une occasion à ces diables de revenir un jour serrer la gorge de son successeur dans les années à venir. Comme je l’ai dit, pour l’instant cette histoire n’est que de la farine.

Concernant la justice avant la réconciliation, je te laisse ici savourer la confession de celui que tu crois qu’il fera comme ton menteur introverti Blaise Compaoré sans penser à l’avenir. Voilà ce que Roch Kaboré disait a son peuple concernant la justice avant la réconciliation a la prise de son pouvoir.
"Nous devons tout faire pour que la justice soit rendue dans toutes (les) affaires sensibles pour aider notre peuple à se réconcilier avec son histoire, pour ramener la paix des cœurs et créer les conditions propices à la contribution de tous les Burkinabè à l’œuvre de construction nationale", déclaré M. Kaboré dans un discours radiotélévisé. "La réconciliation nationale reste un enjeu majeur que nous devons réussir, dans l’intérêt supérieur de la nation", a-t-il dit. La justice militaire, une juridiction d’exception, doit solder une longue série de dossiers, dont principalement ceux du putsch manqué de septembre 2015 et de l’assassinat du "père de la révolution" burkinabè, le capitaine Thomas Sankara, tué lors du coup d’Etat qui porta l’ex-président Blaise Compaoré au pouvoir en 1987.

Également en instance, le dossier du journaliste d’investigation Norbert Zongo, tué en 1998 avec trois compagnons, a connu une évolution avec la mise sous contrôle judiciaire de François Compaoré, frère du président déchu Blaise Compaoré, poursuivi pour "incitation à assassinats".

M. Kaboré a dit "saluer l’avancée des dossiers pendants devant la justice", tout en rappelant aux acteurs chargés de les vider que "la soif légitime de justice des Burkinabè reste intacte." Taali, tu te trompes, les criminels payeront leurs crimes avant que le peuple Burkinabé les pardonne.


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