Burkina Faso : Angela Merkel en visite à Ouagadougou les 1er et 2 mai 2019
25 avril 2019, 15:35, par
Africa
Mr leforozat, je vous ai lu après mon post (No 14). Je partage vos inquiétudes ; toutefois, je pense qu’il revient au Président de l’Université d’établir des normes à ce genre d’évènements sur son campus. Pas question de laisser faire n’importe quoi. L’université est un haut lieu de production des idées nouvelles. Ce genre de rencontres complète quelque part la formation académique dispensée aux étudiants quelque soit la filière d’études, parce que tout cela participe à la prise de conscience politique et à une meilleure compréhension des enjeux du monde d’aujourd’hui et de demain.
Quand j’étais élève-ingénieur à l’Ecole Polytechnique de Montréal dans les années 1970, nous (Association des Etudiants de Polytechnique) invitions régulièrememt lors des conférences-midi du mercredi, d’éminentes personnalités dans différents domaines (politique, scientifique, économiques, etc..) pour débattre de la marche du monde et des enjeux du futur. Ce n’était rien d autre que des compléments de formation et de culture générale de la future élite.
Durant mon séjour à Poly, seule une fois, nous avons reçu le premier ministre Robert Bourassa à l’occasion du centenaire de l’Ecole ! C’est pour souligner le grand privilège qu’ont les étudiants de luiesté Joseph Ki-Zerbo de recevoir en moins de trois ans deux dirigeants de dimension mondiale (Mr Macon et Mme Merkel) pour échanger de la marche du monde. Il ne faut pas gâcher ce genre d’occasion en prenant à la légère l’évènement et en se comportant comme la dernière fois.
Mr leforozat, je vous ai lu après mon post (No 14). Je partage vos inquiétudes ; toutefois, je pense qu’il revient au Président de l’Université d’établir des normes à ce genre d’évènements sur son campus. Pas question de laisser faire n’importe quoi. L’université est un haut lieu de production des idées nouvelles. Ce genre de rencontres complète quelque part la formation académique dispensée aux étudiants quelque soit la filière d’études, parce que tout cela participe à la prise de conscience politique et à une meilleure compréhension des enjeux du monde d’aujourd’hui et de demain.
Quand j’étais élève-ingénieur à l’Ecole Polytechnique de Montréal dans les années 1970, nous (Association des Etudiants de Polytechnique) invitions régulièrememt lors des conférences-midi du mercredi, d’éminentes personnalités dans différents domaines (politique, scientifique, économiques, etc..) pour débattre de la marche du monde et des enjeux du futur. Ce n’était rien d autre que des compléments de formation et de culture générale de la future élite.
Durant mon séjour à Poly, seule une fois, nous avons reçu le premier ministre Robert Bourassa à l’occasion du centenaire de l’Ecole ! C’est pour souligner le grand privilège qu’ont les étudiants de luiesté Joseph Ki-Zerbo de recevoir en moins de trois ans deux dirigeants de dimension mondiale (Mr Macon et Mme Merkel) pour échanger de la marche du monde. Il ne faut pas gâcher ce genre d’occasion en prenant à la légère l’évènement et en se comportant comme la dernière fois.