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Burkina : « J’ai trop souffert de l’utilisation de l’État à des fins personnelles », lâche Me Hermann Yaméogo

14 avril 2019, 17:25, par Ka

Internaute ‘’’Bonjour,’’’ merci pour ta critique fondée et limpide : Le Burkina a la chance de doté d’une jeunesse prévenante. De Maurice Yamèogo qui était entouré d’un mauvais entourage comme ses cousins Denis Yaméogo, J. Yamèogo directeur de l’école centre et maire de Koudougou et tant d’autres, ont déraillé un premier président de la Haute Volta à commettre l’irréparable en prenant son pays pour sa natte dont il prétend la plier ou la déplier comme il veut, jusqu’à la jeunesse suivi des syndicats, épauler par les militaires lui disent de dégager.

Oui cher internaute ‘’’’Bonjour,’’’’ la jeunesse joue un rôle très important dans les alternances politique de notre pays. Comme Blaise Compaoré a été victime d’un mauvais entourage, durant la dernière décennie ayant précédé sa perte du pouvoir en 2014 , suite à l’insurrection populaire, surtout des OSC constitué des jeunes. Comme Maurice Yaméogo, Blaise Compaoré s’est fait avoir par son propre frère, ses complices comme Diendéré Gilbert, Hermann Yaméogo, Gilbert Ouédraogo, un entourage qui s’est essentiellement livré, à des querelles mesquines civiles-militaires de succession ,chacun croyant être le dauphin indiqué du président Compaoré.

Vu ceux qui soutiennent Hermann de poursuivre l’ètat Burkinabé : Je me permets de reposer une seule question que le peuple Burkina se posait et continu a posé comme question a Hermann Yaméogo ! Que s’est-il passé ce 18 Septembre 1989 quand Hermann Yaméogo réuni avec Gilbert Diendéré, Salif Diallo, Issa Tiendrebéogo, et le lendemain, le président Blaise Compaoré a pris ses distances avec ses meilleurs conseillers et frères d’armes J.B Lingani et Henri Zongo jusqu’à les accusé de faut coup d’état et les fusillés à la sauvette ? Si la jeunesse sur cette sortie d’Hermann Yaméogo le traite comme telle, c’est que le passé de chacun le rattrape. La jeunesse est franche et ne veut plus ceux qui trahissent ou comploter avec un président pour qu’il fusille ses bons conseillers pour le pouvoir. Le président du Faso Roch Marc Christian Kaboré, devrait pouvoir tirer lucidement leçon de cette question d’un entourage étouffant et égoïste, afin de ne pas tomber dans le même piège. C’est vrais que madame M. Guirma a raison de dire comme je l’ai souvent répéter que dans notre marigot politique depuis notre indépendance, tous nos politiques de petits pieds ont usés d’intrigues et de coups-bas pour écarter son adversaire le plus dangereux a l’accession au fauteuil présidentiel.

Mais je suis désolé de dire que concernant mon petit frère Hermann Yaméogo, celui avec qui on rigolait ensemble a Toulourou la boite la plus branchée des yaméogo d’une époque a koudougou, le malheurs d’Hermann Yaméogo n’est pas qu’on veut l’écarter de quoi que ça soit, mais que 99% des Burkinabé ont vu en œuvres ses nuisances légendaires avec ses complices comme Diendéré Gilbert et les sicaires dits charognards du CDP qui sont encore biens frais dans nos mémoires. Et je demande à ma sœur M. Guirma et à mon ami Kôrô Yamyélé que c’est très difficile de défendre ce qui est indéfendable. Hermann Yaméogo peut porter plainte contre l’état Burkinabé a l’ONU, a la CPI, a la CEDEAO, a l’UA, mais n’aura aucun résultat positif, vu que lui-même est un repris de justice de son propre pays. Tout dont je peux dire au protéger de madame M. Guirma qui est Hermann Yaméogo, c’est qu’il n’y a aucun péril en la demeure, sauf de respecter le jeu démocratique ainsi que les articles des lois de notre constitution qui protègent le peuple. Que chacun respecte la constitution pour permettre à la génération future très franche de s’assumer.


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