Burkina Faso : « Ce qui se déroule au Ministère des finances n’est ni plus ni moins que du sabotage », clame Simon Compaoré

Bonus, le comble ici est que tous ceux qu’on a gérés de la sorte étaient 1000 fois meilleures et patriotes à ceux qui les traitaient de la sorte à part Sankara. Ils ont aimé ce pays la haute volta et après le Burkina Faso. Aucun centimètre de notre territoire n’a été viole sous leur magistère. Ils non jamais accusé X ou Y d’être l’instigateur de ceci ou cela, les problèmes étaient pris à bras le corps et avec franchise et sans faut fuyant.
Ceux qui nous gouvernent aujourd’hui sont ceux-là qui ont tout privatisé vendu et ensuite racheté.
Quelle leçon peuvent t’ils nous donner. Ils sont tous milliardaire, ils feintent avec la vérité et ils osent nous parler de Sankara et de révolution.
Le véritable problème de ce pays est que certains ne veulent pas rendre compte de leur gestion de l’état depuis 30 ans.
Souvent ils vont jusqu’à tribaliser les choix des dirigeants du pays de façon sournoise et non dite. Cela va nous conduire droit au mur sûr et certain.
Tantôt ils s’appuient sur la chefferie traditionnel du centre ou sur les religieux, mais nous disons allons seulement.