Procès du putsch : « Jacques Limon ne veut plus se battre », ironise Me Séraphin Somé
26 mars 2019, 17:46, par
Kouda
Clarisse Ouédraogo,
Ainsi fonctionne le Burkina Faso.
Beaucoup de journalistes se contentent de rapporter des ragots ou des comptes rendus. Très peu se donnent la peine de fouiller, chercher, recouper leurs infos avant de les publier. Méfiez vous aussi des "grands" journaux car certains poursuivent des motifs
pas toujours avoués et le font subtilement.
Concernant les compétences de l’expert, je suis entièrement d’accord avec vous. Mes compatriotes tremblent devant la peau blanche mais quand c’est un compatriote à la peau noire, chacun veut se la jouer et surtout veut "manger sur son dos". On est prêt à payer à coups de millions des médecins légistes du genre Stéphane Chochois mais on refuse de payer le dixième à des médécins légistes africains. Notre premier fourfendeur, c’est nous mêmes.
Clarisse Ouédraogo,
Ainsi fonctionne le Burkina Faso.
Beaucoup de journalistes se contentent de rapporter des ragots ou des comptes rendus. Très peu se donnent la peine de fouiller, chercher, recouper leurs infos avant de les publier. Méfiez vous aussi des "grands" journaux car certains poursuivent des motifs
pas toujours avoués et le font subtilement.
Concernant les compétences de l’expert, je suis entièrement d’accord avec vous. Mes compatriotes tremblent devant la peau blanche mais quand c’est un compatriote à la peau noire, chacun veut se la jouer et surtout veut "manger sur son dos". On est prêt à payer à coups de millions des médecins légistes du genre Stéphane Chochois mais on refuse de payer le dixième à des médécins légistes africains. Notre premier fourfendeur, c’est nous mêmes.