Gestion des projets au Burkina : De la nécessité d’une profonde réforme technique et méthodologique
14 mars 2019, 12:45, par
Somé
Bonjour M Tass,
IL me semble que ce que vous dites n’est pas en contradiction avec ce que Dr Kiemtoré aborde dans l’article. En ce sens que dans le processus de conception, il y a la planification qui occupe une bonne place. En outre, quant à la mise en oeuvre d’un outil harmonisé, Je ne pense pas que Dr Kiemtoré remet en cause les référentiels dont il fait cas dans son article, mais il demande de la transposer, de les adapter, dans la réalité burkinabé. Enfin, vous lui exhortez à la création d’un cadre de réflexion, ce qui est déjà fait, il est responsable de African Project Management Institute (cf signature de l’auteur). A mon avis ce qui reste, je pense que vu le niveau que l’auteur de l’article a, il nous reste à l’aider politiquement à nous aider techniquement. Je dis cela, parce que c’est le politique qui détient le pouvoir de décision.
Merci encore au frère Kiemtoré de nous entretenir sur un sujet d’intérêt.
Bonjour M Tass,
IL me semble que ce que vous dites n’est pas en contradiction avec ce que Dr Kiemtoré aborde dans l’article. En ce sens que dans le processus de conception, il y a la planification qui occupe une bonne place. En outre, quant à la mise en oeuvre d’un outil harmonisé, Je ne pense pas que Dr Kiemtoré remet en cause les référentiels dont il fait cas dans son article, mais il demande de la transposer, de les adapter, dans la réalité burkinabé. Enfin, vous lui exhortez à la création d’un cadre de réflexion, ce qui est déjà fait, il est responsable de African Project Management Institute (cf signature de l’auteur). A mon avis ce qui reste, je pense que vu le niveau que l’auteur de l’article a, il nous reste à l’aider politiquement à nous aider techniquement. Je dis cela, parce que c’est le politique qui détient le pouvoir de décision.
Merci encore au frère Kiemtoré de nous entretenir sur un sujet d’intérêt.