Je suis attristé d’assister à une pathétique fin de carrière politique d’une grande figure historique de l’Afrique militante et combattante pour la liberté et la dignité. Abdelaziz Buteflika s’est engagé dans l’Armée de libération nationale (ALN) à 19ans sur appel à l’enrolement du Front de Libération Nationale (FLN) à tous les élèves et étudiants. Abdelaziz Buteflika, c’est aussi ce talentieux diplomate qui porta haut le combat des pays en voie de developpement (pvd) sur les tribunes des Nations Unies pour reclamer un "Nouvel ordre économique international" plus juste ; c’était dans les années 1970. Enfin, Abdelaziz Buteflika c’est le pacificateur d’une Algérie déchirée par l’extrémisme religieux ; c’était dans les années 1990. Ce homme aurait mérité une sortie plus noble à la Mandela. Hélas ! Les charognards veulent profiter du prestige de ce vieill homme, diminué par la maladie pour désossser le pays. Ils l’ont donc poussé à l’erreur en le faisant endosser une candidature insensée.
J’excuse le Président Abdelaziz Buteflika ; il n’est plus maître de ses dècisions. Il est l’otage d’une nomenclatura politico-militaire cupide. C’est à cette nomenclatura que j’en veux. Qu’ils laissent se reposer le président Abdelaziz Buteflika, panafricaniste et Tiermondiste tant respecté par des générations d’africains et d’ailleurs.
Je suis attristé d’assister à une pathétique fin de carrière politique d’une grande figure historique de l’Afrique militante et combattante pour la liberté et la dignité. Abdelaziz Buteflika s’est engagé dans l’Armée de libération nationale (ALN) à 19ans sur appel à l’enrolement du Front de Libération Nationale (FLN) à tous les élèves et étudiants. Abdelaziz Buteflika, c’est aussi ce talentieux diplomate qui porta haut le combat des pays en voie de developpement (pvd) sur les tribunes des Nations Unies pour reclamer un "Nouvel ordre économique international" plus juste ; c’était dans les années 1970. Enfin, Abdelaziz Buteflika c’est le pacificateur d’une Algérie déchirée par l’extrémisme religieux ; c’était dans les années 1990. Ce homme aurait mérité une sortie plus noble à la Mandela. Hélas ! Les charognards veulent profiter du prestige de ce vieill homme, diminué par la maladie pour désossser le pays. Ils l’ont donc poussé à l’erreur en le faisant endosser une candidature insensée.
J’excuse le Président Abdelaziz Buteflika ; il n’est plus maître de ses dècisions. Il est l’otage d’une nomenclatura politico-militaire cupide. C’est à cette nomenclatura que j’en veux. Qu’ils laissent se reposer le président Abdelaziz Buteflika, panafricaniste et Tiermondiste tant respecté par des générations d’africains et d’ailleurs.