50 ans du FESPACO : « Il y a une crise de la pensée du développement de l’Afrique », déclare Aminata Dramane Traoré
1er mars 2019, 12:58, par
Emmanuel Eless
Bravo aux organisateurs du Fespaco pour avoir pu maintenir le grand rendez-vous contre vents et marées !
Les cinéastes africains francophones doivent changer d’attitude et s’inspirer des exemples du Nigeria et du Ghana où l’industrie cinématographique a fleuri, sans subvention venant d’ailleurs. Un autre exemple d’inspiration, toujours en Afrique, est le cinéma égyptien qui a su, en son temps, s’imposer sans apport extérieur important, mais plutôt sous le financement du banquier egyptienTallat Harb.
Bravo aux organisateurs du Fespaco pour avoir pu maintenir le grand rendez-vous contre vents et marées !
Les cinéastes africains francophones doivent changer d’attitude et s’inspirer des exemples du Nigeria et du Ghana où l’industrie cinématographique a fleuri, sans subvention venant d’ailleurs. Un autre exemple d’inspiration, toujours en Afrique, est le cinéma égyptien qui a su, en son temps, s’imposer sans apport extérieur important, mais plutôt sous le financement du banquier egyptienTallat Harb.