Tribune : Parler de problème d’intégration des Peulhs dans le Mogho est une erreur (1/2)
9 février 2019, 08:55, par
Sayouba Traoré
Une analyse fine et sourcée. Je suggère même une unité à l’Université de Ouagadougou pour étudier cette question. Ouahigouya constitue à elle seule un laboratoire. Je porte l’appellation Traoré. Une partie de mes oncles portent le nom Ouedraogo. Cela, on ne l’a jamais caché parce qu’il n’y a rien de honteux. C’est notre histoire familiale. Salif Diallo, ça vous dit quelque chose ? Thomas Sankara le Silmiimoaga, ça vous dit quelque chose ? Les politiciens devraient éviter de jouer avec cette question ultra-sensible. Le projet c’est la nation. Le Bayiri, c’est désormais le Burkina Faso. Il faut le dire, le redire, le marteler sans relâche. Le Bayiri, c’est désormais le Burkina Faso.
Une analyse fine et sourcée. Je suggère même une unité à l’Université de Ouagadougou pour étudier cette question. Ouahigouya constitue à elle seule un laboratoire. Je porte l’appellation Traoré. Une partie de mes oncles portent le nom Ouedraogo. Cela, on ne l’a jamais caché parce qu’il n’y a rien de honteux. C’est notre histoire familiale. Salif Diallo, ça vous dit quelque chose ? Thomas Sankara le Silmiimoaga, ça vous dit quelque chose ? Les politiciens devraient éviter de jouer avec cette question ultra-sensible. Le projet c’est la nation. Le Bayiri, c’est désormais le Burkina Faso. Il faut le dire, le redire, le marteler sans relâche. Le Bayiri, c’est désormais le Burkina Faso.