Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Quand Rosine Coulibaly cite Thomas Sankara : « Vous ne pouvez pas accomplir des changements fondamentaux sans une certaine dose de folie... »
25 janvier 2019, 11:23, par
Hum
Tout ce qui est rare coûte cher comme vous le dites. Un cheval borgne est rare, pourtant il n’est pas cher. Et je pense que c’est sur ce cheval borgne qu’on est tombé. Comme il est rare, on lui a appliquer ta théorie, en le payant cher. Et à l’arrivée, zéro.
Regardez bien dans le passé de ce pays, on a eu des ministres venus d’institutions internationales qui se sont pourtant conformés aux salaires locaux : çà s’appelle du patriotisme.
Et bizarrement, tous ceux qui crient à tue-tête les louanges de la bonne dame, ne peuvent donner aucun de ses exploits économiques ou financiers apportés au pays.
Leur seule préoccupation est ce qu’ils voulaient qu’on retire à leurs frères (FC) pour qu’ils soient même chose ou ce pour lequel ils sont prêts à ce qu’on leur crève un œil, pourvu qu’on crève les deux yeux leurs frères.
Je retiens simplement du passage de Rosine Coulibaly que par ses errements, le pays est obligé de s’endetter pour faire face à ses dépenses de fonctionnement, notamment les salaires.
Elle laisse derrière elle une crise économique sans précédent dans l’histoire du Burkina qu’elle a ramené dans les escarcelles des institutions de Breton-Woods, au moment ou des pays comme le Ghana se départissait de ces mêmes institutions.
Si Sankara, qu’elle se permet de citer allègrement vivait, il allait la qualifier de valet local.
Tout ce qui est rare coûte cher comme vous le dites. Un cheval borgne est rare, pourtant il n’est pas cher. Et je pense que c’est sur ce cheval borgne qu’on est tombé. Comme il est rare, on lui a appliquer ta théorie, en le payant cher. Et à l’arrivée, zéro.
Regardez bien dans le passé de ce pays, on a eu des ministres venus d’institutions internationales qui se sont pourtant conformés aux salaires locaux : çà s’appelle du patriotisme.
Et bizarrement, tous ceux qui crient à tue-tête les louanges de la bonne dame, ne peuvent donner aucun de ses exploits économiques ou financiers apportés au pays.
Leur seule préoccupation est ce qu’ils voulaient qu’on retire à leurs frères (FC) pour qu’ils soient même chose ou ce pour lequel ils sont prêts à ce qu’on leur crève un œil, pourvu qu’on crève les deux yeux leurs frères.
Je retiens simplement du passage de Rosine Coulibaly que par ses errements, le pays est obligé de s’endetter pour faire face à ses dépenses de fonctionnement, notamment les salaires.
Elle laisse derrière elle une crise économique sans précédent dans l’histoire du Burkina qu’elle a ramené dans les escarcelles des institutions de Breton-Woods, au moment ou des pays comme le Ghana se départissait de ces mêmes institutions.
Si Sankara, qu’elle se permet de citer allègrement vivait, il allait la qualifier de valet local.