Quand Rosine Coulibaly cite Thomas Sankara : « Vous ne pouvez pas accomplir des changements fondamentaux sans une certaine dose de folie... »

Madame, je vous respectais et vous admirais jusqu’au jour où j’ai su que votre salaire était hors la loi. J’ai compris depuis lors que ce que vous appelez "une certaine dose de folie" n’était en réalité que de la pure hypocrisie : vous refusez de vous appliquer ce que vous voulez appliquer aux autres. Et quand vous citez Tom Sank, là je comprends que soit tout ne tourne pas rond dans votre tête, soit vous êtes un cas atypique de cynisme.
Savez-vous ce qui a rendu Sankara immortel ? La discipline qu’il voulait appliquer aux autres, il se l’appliquait d’abord. On ne peut citer Sankara et rouler dans une voiture de dernière génération payée par des contribuables qui peinent à manger 2 fois par jour. A moins que votre Sankara soit différent de celui que le Faso a connu.
Merci pour tant d’énergies gaspillées (aussi bien pour vous que pour le pays) et bon vent pour la suite !