Quand Rosine Coulibaly cite Thomas Sankara : « Vous ne pouvez pas accomplir des changements fondamentaux sans une certaine dose de folie... »

Comme le dit un proverbe africain, "même si on n’aime pas le lièvre, il faut reconnaître qu’il court vite". C’est grâce à cette dame que nous avons su pourquoi on avait du mal à nous développer parce qu’avec des fonds communs en pagaille, il est difficile d’investir encore pour des générations futures et de créer des emplois. Bref, elle a fait ce qu’elle pouvait, à nous de l’apprécier sachant que celui qui a le dernier mot c’est bien Dieu.
Puisse-t-elle être récompenser au centuple de ses bienfaits.