Niger : Plus de 200 "terroristes" tués dans des opérations terrestres et aériennes contre Bolo Haram
3 janvier 2019, 16:24, par
Sawad
Quid, il faut nuancer un peu ! L’armée burkinabé n’est pas ridicule, elle n’est pas plus faible que celle du Niger. Au Niger, non seulement l’ennemi, Boko Haram, est connu (visible) mais en plus, il ya eu le soutien aerien de la force barkhane (Française). Cet article à volontairement omis de le dire, peut-être à dessein. Pour la strategie, Boko haram combat comme une armée régulière, il est donc plus facile d’y faire face. L’ennemi qui nous malmène au Burkina est invisible, il n ya donc que par le renseignement, la franche collaboration de la population qu’il peut etre vaincu. Du reste, je pense, sans chauvinisme, que le Burkina a des soldats courageux, professionnels, patriotes, bien formés que beaucoup de pays africains nous envient. Le seul problème de cette armée, c’est le manque de moyens. A qui la faute, peut-être à personne mais à la pauvreté structurelle du pays.
Nos soldats meurent au Front du fait des explosifs de l’ennemi, enfouis sous terre mais ils ne rechignent jamais malgre parfois la mort certaine, d’affronter l’ennemi "invisible".
SAWADOGO
Quid, il faut nuancer un peu ! L’armée burkinabé n’est pas ridicule, elle n’est pas plus faible que celle du Niger. Au Niger, non seulement l’ennemi, Boko Haram, est connu (visible) mais en plus, il ya eu le soutien aerien de la force barkhane (Française). Cet article à volontairement omis de le dire, peut-être à dessein. Pour la strategie, Boko haram combat comme une armée régulière, il est donc plus facile d’y faire face. L’ennemi qui nous malmène au Burkina est invisible, il n ya donc que par le renseignement, la franche collaboration de la population qu’il peut etre vaincu. Du reste, je pense, sans chauvinisme, que le Burkina a des soldats courageux, professionnels, patriotes, bien formés que beaucoup de pays africains nous envient. Le seul problème de cette armée, c’est le manque de moyens. A qui la faute, peut-être à personne mais à la pauvreté structurelle du pays.
Nos soldats meurent au Front du fait des explosifs de l’ennemi, enfouis sous terre mais ils ne rechignent jamais malgre parfois la mort certaine, d’affronter l’ennemi "invisible".
SAWADOGO