Economie : Les industries d’huilerie se meurent à Bobo-Dioulasso
31 décembre 2018, 10:14, par
LE CITOYEN
il y a une chose très importante que le député populiste ne dit pas car politiquement incorrect pour lui : La graine de coton, matière première de ces huileries rapporte combien aux millions de cotonculteurs ? Ceux là ne sont pas des travailleurs, ne sont-t-ils pas des burkinabè à défendre ?
Depuis l’introduction de la culture du coton dans notre pays, la fixation du prix d’achat du coton graine considère la graine comme sans valeur, seul le pourcentage de fibre importait. Si aujourd’hui la graine a de la valeur jusqu’à ce qu’il y ait cinq huilerie , il y lieu de répercuter la valeur de la graine sur le prix d’achat aux producteurs. Comme c’est le bétail électoral sans pouvoir de décision de tout le monde (opposition comme partie au pouvoir), personne ne soulève ce problème. Cinq huilerie rien qu’à Bobo, donc il y a à manger de dedans (et à financer ma campagne). Pauvre burkina.
il y a une chose très importante que le député populiste ne dit pas car politiquement incorrect pour lui : La graine de coton, matière première de ces huileries rapporte combien aux millions de cotonculteurs ? Ceux là ne sont pas des travailleurs, ne sont-t-ils pas des burkinabè à défendre ?
Depuis l’introduction de la culture du coton dans notre pays, la fixation du prix d’achat du coton graine considère la graine comme sans valeur, seul le pourcentage de fibre importait. Si aujourd’hui la graine a de la valeur jusqu’à ce qu’il y ait cinq huilerie , il y lieu de répercuter la valeur de la graine sur le prix d’achat aux producteurs. Comme c’est le bétail électoral sans pouvoir de décision de tout le monde (opposition comme partie au pouvoir), personne ne soulève ce problème. Cinq huilerie rien qu’à Bobo, donc il y a à manger de dedans (et à financer ma campagne). Pauvre burkina.