Accueil > ... > Forum 1480812

Procès du putsch : L’article 629 du Code de procédure pénal et la défense du général Bassolé

20 décembre 2018, 18:37, par Ka

Mes chers amis internautes de bonne foi ’’Mafoi Tilaï et Sawad : Comme je le dis très souvent, l’extrémisme de ‘’’Vérité vraie,’’’ mais une fausse personne exprime la pensée de celui qui n’admet pas qu’on lui oppose une autre manière de penser. Je n’ai rien contre Djibril Bassolé, car il ne mérite ni ma haine, ni ma reconnaissance : Car, tous les êtres humains de ce monde ne se ressemblent pas, comme ceux qui ont choisi le pouvoir pour gouverner, sont divisé en deux catégorie : ‘’’La première catégorie comme Mandela, Thomas Sankara, Obama, Lumumba, et tant d’autres qui ont choisi de gouverner avec le peuple dans la loyauté et d’un idéal pour le développement et l’émergence de leur pays : Et la deuxième catégorie des gouvernants sanguinaires comme Blaise Compaoré, Diendéré Gilbert, Djibril Basdolé et d’autres, qui ont décidé de tuer leur peuple et gouverner sans partage, dont personne ne peut les barrer la route de leur sadisme que seul le Dieu le tout puissant, et les soulèvements populaires du peuple souverain comme ce fut le cas de l’insurrection du 31 Octobre 2014 dont le peuple Burkinabé et sa jeunesse a dit que rien ne sera plus comme avant, avec comme porte-parole le valeureux I. Zida a la place de la révolution.

Pourtant j’ai connu ce petit gendarme nommé I. Djibril Bassolé a ses début avec l’arrogance de citer théoriquement a ses paires de la gendarmerie nationale que la discipline et l’intelligence qui sont, entre autres, des qualités d’un bon militaire, et doivent être mis en avant le sens de l’honneur, la sincérité, le professionnalisme et le comportement. Et tout manquement doit être sanctionné selon la gravité des faits. Au sein de l’armée républicaine du Burkina, tous reçoivent la même éducation !

Mais ce petit gendarme Djibril Bassolé, même avant d’être installé dans son nouveau bureau de ministre délégué de la sécurité nationale nommé par le petit président François le 16 décembre 1999, s’est jété a l’eau, et a décidé d’hériter le dossier de l’assassinat de Norbert Zongo, et l’étouffer pour les beaux yeux de François et Blaise Compaoré. Par la suite, comme récompense, il gravit les échelons jusqu’à être un faux général sans garnison : Comme se fut le cas de Gilbert Diendéré, après avoir canardé sans raison le valeureux Thomas Sankara et ses compagnons, est devenu le numéro deux du régime Compaoré et récompensé en prime le titre de général pour ses multiples assassinats. Tout dont je relates dans mes critiques, sont connus par les Burkinabé qui les ont vécu.

Je n’ai aucune haine contre ces individus qui ne mérite ni la reconnaissance ni la haine de Ka. Mais avec mes critiques sur mes vécus du passé, c’est pour dire à toutes ou tous, celles ou ceux qui me lisent de se rappeler du passé qui n’est pas glorieux, et surtout de ne plus laisser ces criminels en puissance de continuer éternellement de le répéter. Encore une fois, merci à vous trois chers internautes de bonne foi, de m’épaulera dans ma vérité qui rougit les yeux, mais ne les crèvent pas pour que le monde soit meilleur.


LeFaso.net
LeFaso.net © 2003-2023 LeFaso.net ne saurait être tenu responsable des contenus "articles" provenant des sites externes partenaires.
Droits de reproduction et de diffusion réservés