Procès du putsch : L’article 629 du Code de procédure pénal et la défense du général Bassolet
20 décembre 2018, 03:05, par
Ahmed
Les procédures ne disculpent pas Mr Bassolet. Des vrais faux documents de santé ont circulé pour dire que Djibril est mourant. Il fallait forcément l’évaluer. Des marcheurs sans connaître le fond du dossier sont sortis pour demander sa libération. Avançons. Il n’y a plus d’échappatoire. Ou les experts devraient déposer leurs signatures pour que maître Bonkoungou constate l’authenticité des documents d’expertises des écoutes téléphoniques ? Pourquoi revenir sur des évidences ? Tout le monde sait que c’est lui Bassolet et Soro qui conversaient pour un plan de réussite du coup d’État. Creusant le fond pour situer sa responsabilité
Les procédures ne disculpent pas Mr Bassolet. Des vrais faux documents de santé ont circulé pour dire que Djibril est mourant. Il fallait forcément l’évaluer. Des marcheurs sans connaître le fond du dossier sont sortis pour demander sa libération. Avançons. Il n’y a plus d’échappatoire. Ou les experts devraient déposer leurs signatures pour que maître Bonkoungou constate l’authenticité des documents d’expertises des écoutes téléphoniques ? Pourquoi revenir sur des évidences ? Tout le monde sait que c’est lui Bassolet et Soro qui conversaient pour un plan de réussite du coup d’État. Creusant le fond pour situer sa responsabilité