Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Assassinat du journaliste Norbert Zongo : 20 ans après, vérité et justice sont toujours attendues
14 décembre 2018, 15:31, par
TIENFO
Qu’il dise ce qu’il veut à qui il veut. Que la justice des hommes le déclare coupable ou innocent, peu importe. Ce qui sûr et François Compaoré le sait très bien, qu’il peut arroser la chaine judiciaire avec autant d’argent qu’il veut, il n’a aucun moyen ni pouvoir pour échapper à la justice de DIEU. Que François Compaoré soit en prison, en liberté provisoire ou en résidence surveillé, le plus pauvre et misérable du Burkina est beaucoup plus heureux que lui et son frère Blaise en ce moment. Il y a des mensonges qui rongent de l’intérieur du corps et qui font plus de mal que les tortures physiques. François Compaoré peut être libre de ces mouvements mais il ne sera jamais libre de ses propres pensées.
« Je pense particulièrement à la jeunesse intellectuelle de la tranche d’âge de moins de 20 à 22 ans qui, à l’époque des faits en1998, avait moins de 14 et 16 ans ». Chaque pas que ces jeunes font actuellement pour réclamer justice pour Norbert ZONGO, constitue des flèches chaudes et brulantes pour François Compaoré. Ça fait très mal Messieurs COMPAORE.
Qu’il dise ce qu’il veut à qui il veut. Que la justice des hommes le déclare coupable ou innocent, peu importe. Ce qui sûr et François Compaoré le sait très bien, qu’il peut arroser la chaine judiciaire avec autant d’argent qu’il veut, il n’a aucun moyen ni pouvoir pour échapper à la justice de DIEU. Que François Compaoré soit en prison, en liberté provisoire ou en résidence surveillé, le plus pauvre et misérable du Burkina est beaucoup plus heureux que lui et son frère Blaise en ce moment. Il y a des mensonges qui rongent de l’intérieur du corps et qui font plus de mal que les tortures physiques. François Compaoré peut être libre de ces mouvements mais il ne sera jamais libre de ses propres pensées.
« Je pense particulièrement à la jeunesse intellectuelle de la tranche d’âge de moins de 20 à 22 ans qui, à l’époque des faits en1998, avait moins de 14 et 16 ans ». Chaque pas que ces jeunes font actuellement pour réclamer justice pour Norbert ZONGO, constitue des flèches chaudes et brulantes pour François Compaoré. Ça fait très mal Messieurs COMPAORE.