Putsch du CND : "Il faut que ça marche sinon ce sera la honte de l’armée", clamait le colonel-major Raboyinga Kaboré, CEMAT

Le vilain,
je vous sais plus futé que ça.
Si le général Diendéré convoque une réunion avec la hierarchie militaire, vous saisissez l’ampleur du bordel qui règnait dans notre armée. En tant que qui Diendéré convoque-t-il la hierarchie militaire ? Quelles fonctions Diendéré occupait-il dans l’armée au moment des faits ? Etait-il le plus gradé dans l’armée nationale présent au Burkina Faso, lui qui prétend défendre l’ordre et la discipline au sein de l’armée ?
Aucun chef militaire présent à Ouaga ne pouvait dire non à Diendéré directement car aucun d’eux n’avait sous son commandement une troupe armée et prête à résister au RSP.
Gilbert, les chefs militaires t’ont eu comme le 1er des gaous. Ils n’ont pas accepté assumer ton pustch mais ils ne pouvaient pas t’affrontrer directement. Ils ont donc ruser pour t’avoir et ils t’ont eu. Le soi-disant homme le mieux informé d’Afrique de l’Ouest qui dit qu’il ne sait pas ce qui s’est passé à l’état major général des armées le 1er novembre 2014.
Il n’y a que les naïfs qui peuvent croire à ce genre de fables.