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Procès du putsch manqué : « Dans ces genres de situation, il ne faut pas jouer au Rambo, sinon… », Commandant Abdoul Aziz Korogo

7 novembre 2018, 13:38, par Ka

Non le convaincu, la jeune démocratie de notre pays dont ses valeurs restent nos continuités des coutume qui se réveillent en chacun de nous tous, cette jeune démocraties avance a pas de lièvre par rapport il y a 30 ans du régime Compaoré avec sa répression panaché de crimes gratuits sans parler de de la façon dont les journalistes d’investigation subissaient a l’exemple de Norbert Zongo calciné dans sa voiture avec ses compagnons par ce qu’il disait ce qu’il pensait des crimes gratuits et les tortures du régime Compaoré. Si j’avance que la démocratie de notre pays est en bonne voie plus que ce que tu penses, c’est que sincèrement la démocratie et la liberté d’expression sont une réelle réalité au Faso du régime Kaboré : ‘’’’L’exemple c’est de voir seulement comment le pouvoir accepte faire face aux contradictions comme la tienne, critiques, débats, parfois même injures de tout genre ainsi que les mécanismes de fonctionnement des institutions publiques, sans parler les journalistes de pacotille des radios de notre pays qui insultent sans limites.’’’’

La tenue même de ce procès, sous ce format, est une avancée de notre démocratie. Et celui qui doit être le premier à le reconnaître est le Général Diendéré lui-même, qui était avec son mentor Blaise Compaoré les auteurs des procès expéditifs suivis des fusillades a la sauvette.

Il est particulièrement la preuve que le Burkina est en train de tourner la page des procès expéditifs et dignes des Etats d’exception. Et ça monsieur le convaincu que je conclu un non convaincu, c’est de la démocratie qui avance. Malheureusement les éléments et leurs responsables du RSP devant les juges, ne jouent pas le jeu, ils mentent comme ils respirent, aucune vérité que de la farine pour ne pas assumer leurs actes, que pour sauver leur peau.

Quant aux militaires sur les relations ‘’’civils-militaires’’’ puise sa source, au tournant des années 1940, dans le constat d’une montée en puissance des militaires dans les sociétés occidentales. Elle suscite alors d’autant plus l’attention des observateurs qu’elle remet en cause l’incompatibilité. Même si l’éventualité d’une subversion de ces démocraties par les militaires apparaît peu crédible aux auteurs qui s’y intéressent, la question se pose de la suprématie des dirigeants civils sur les chefs militaires comme Blaise Compaoré et sa famille utilisaient le RSP pour tuer et gouverner sans partage. En la matière, les systèmes politiques contemporains reposent sur le principe d’une soumission « naturelle » des militaires aux dirigeants civils, comme Koné, Yameogo, Sawadogo et autres dans ce coup d’état.

Je profite de ma critique fondée dire a caca de rebondir comme moi, car notre honorable Webmaster de Lefaso.net refuse que je répondre a l’internaute ‘’’Nombré’’’ qui m’insulte sur l’analyse du maître Paul Kéré. Malgré ma colère, je continu a apporter mes contributions au débats pour le bonheur de mes lectrices et lecteurs. C’est ça aussi la démocratie et un Faso qui appartient a toutes ses filles et tous ses fils.


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