Lutte contre le paludisme : Faut-il craindre le pire avec ces moustiques OGM ?
14 octobre 2018, 22:49, par
Ah bon !!!???
Tu parles comme un scientifique mais tu pèches dans ton ignorance de la recherche scientifique. Si tu étais scientifique comme tu veux le faire croire tu comprendrais qu’aucune recherche n’est parfaite et qu’il y a toujours des risques. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle on parle de test, ce qui signifie qu’il n’y a rien de probant. La question que tu dois te poser est de la suivante : Qu’est-ce que l’ANB propose à la population si le test n’est pas probant ? Nous savons tous comment les recherches sont financés et quelles sont les vraies motivations de la majorité des chercheurs des pays pauvres. Il s’agit pour eux d’avoir de la promotion au CAMES et espérer être appelés un jour en Occident. Alors si l’étude est scientifiquement bien menée, ce qui compte pour le chercheur c’est d’avoir le minimum de risque, mais il n’ y a jamais de risque zéro. Nous ne voulons pas que le Burkina supporte ces risques !
Tu parles comme un scientifique mais tu pèches dans ton ignorance de la recherche scientifique. Si tu étais scientifique comme tu veux le faire croire tu comprendrais qu’aucune recherche n’est parfaite et qu’il y a toujours des risques. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle on parle de test, ce qui signifie qu’il n’y a rien de probant. La question que tu dois te poser est de la suivante : Qu’est-ce que l’ANB propose à la population si le test n’est pas probant ? Nous savons tous comment les recherches sont financés et quelles sont les vraies motivations de la majorité des chercheurs des pays pauvres. Il s’agit pour eux d’avoir de la promotion au CAMES et espérer être appelés un jour en Occident. Alors si l’étude est scientifiquement bien menée, ce qui compte pour le chercheur c’est d’avoir le minimum de risque, mais il n’ y a jamais de risque zéro. Nous ne voulons pas que le Burkina supporte ces risques !