Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Compte rendu du Conseil des ministres du mercredi 10 octobre 2018
11 octobre 2018, 14:52, par
courage
Quand je passe chaque matin au niveau de la voie menant à l’hôpital Yalgado là où COGEB exécutent les travaux, je suis simplement sidéré. C’est là-bas pour la première fois j’ai vu des agents qui utilisent une PELLE pour retirer de l’eau d’un fossé qu’ils avaient creusé la veille et que la pluie avait remplie d’eau.
Sur un reportage de la RTB, le directeur des travaux a dit qu’à cause des installations de la SONABEL, de l’ONATEL et de l’ONEA, les travaux ne pouvaient se poursuivre ! N’y a-t-il pas eu d’études préalables avant d’accepter le marché ? Quand vous passez, vous voyez des travailleurs arrêtés en train de se tourner les pouces, se contentant d’arroser la voie qui au fil du temps est devenue un amas de nid de poules. Vous verrez des agents ramassant les sachets, les bouts de bois, etc. C’est vraiment une déception et si malgré cela on leur octroie encore des marchés, là je n’ai plus rien à dire !
Quand je passe chaque matin au niveau de la voie menant à l’hôpital Yalgado là où COGEB exécutent les travaux, je suis simplement sidéré. C’est là-bas pour la première fois j’ai vu des agents qui utilisent une PELLE pour retirer de l’eau d’un fossé qu’ils avaient creusé la veille et que la pluie avait remplie d’eau.
Sur un reportage de la RTB, le directeur des travaux a dit qu’à cause des installations de la SONABEL, de l’ONATEL et de l’ONEA, les travaux ne pouvaient se poursuivre ! N’y a-t-il pas eu d’études préalables avant d’accepter le marché ? Quand vous passez, vous voyez des travailleurs arrêtés en train de se tourner les pouces, se contentant d’arroser la voie qui au fil du temps est devenue un amas de nid de poules. Vous verrez des agents ramassant les sachets, les bouts de bois, etc. C’est vraiment une déception et si malgré cela on leur octroie encore des marchés, là je n’ai plus rien à dire !