Rassemblement pour la démocratie et le socialisme : Le congrès ordinaire a failli virer au pugilat
8 octobre 2018, 15:32, par
Opinion
Soit. À qui la faute ?
L’Etat qui doit assurer le respect des lois à travers l’exécutif et sanctionner les fautifs à travers le judiciaire ou le chef qui est lui justiciable devant les tribunaux et cours.
Moi, j’ai vu aussi dans des localités où le chef a été un victime et celui ci a été aussi malmené à cause de son choix politique.
Au Burkina le problème se pose autrement car il n’y a pas de parti politique de chefs.
Les chefs sont dans presque tous les partis au Burkina.
L’exemple palpable est celui de l’ancien régime ou des Burkinabés ont été victimes de leurs choix politiques(affectations arbitraires)sans que le sommet de l’Etat soit occupé par un chef.
Soit. À qui la faute ?
L’Etat qui doit assurer le respect des lois à travers l’exécutif et sanctionner les fautifs à travers le judiciaire ou le chef qui est lui justiciable devant les tribunaux et cours.
Moi, j’ai vu aussi dans des localités où le chef a été un victime et celui ci a été aussi malmené à cause de son choix politique.
Au Burkina le problème se pose autrement car il n’y a pas de parti politique de chefs.
Les chefs sont dans presque tous les partis au Burkina.
L’exemple palpable est celui de l’ancien régime ou des Burkinabés ont été victimes de leurs choix politiques(affectations arbitraires)sans que le sommet de l’Etat soit occupé par un chef.