CENI : « Si on ne ramène pas l’institution sur les rails, ça va être compliqué en 2020 », (anciens commissaires à la CENI)
4 octobre 2018, 06:44, par
PAK
Je pense qu’il vous faudra absolument une audience avec le Président de la CENI et les commissaires.
Le Président Newton Ahmed Barry a de bonnes idées mais la CENI est gouverné par le principe sacerdotal du consensus. Cela veut dire que quelle que soit la pertinence de ses idées, il faudrait en seconde position qu’il travaille à obtenir le consensus des 14 autres commissaires et c’est là toute la faiblesse de NAB. S’il y a, par exemple, certaines innovations moins coûteuses que vous voudriez bien introduire dans les modes opératoires de l’institution, encore faut-il que toutes les sensibilités à vos côtés l’admettent car le terrain sur lequel vous évoluez est politique et très stratégique pour la vie nationale. Jamais des dissensions au sein de la CENI ne sont arrivées à ce point alors qu’on se disait qu’avec l’arrivée de NAB, la CENI pouvait davantage consolider sa maturité acquise après l’élection présidentielle de 2015 qui n’a pas subi de contestation. Dommage qu’on en soit là !
Je pense qu’il vous faudra absolument une audience avec le Président de la CENI et les commissaires.
Le Président Newton Ahmed Barry a de bonnes idées mais la CENI est gouverné par le principe sacerdotal du consensus. Cela veut dire que quelle que soit la pertinence de ses idées, il faudrait en seconde position qu’il travaille à obtenir le consensus des 14 autres commissaires et c’est là toute la faiblesse de NAB. S’il y a, par exemple, certaines innovations moins coûteuses que vous voudriez bien introduire dans les modes opératoires de l’institution, encore faut-il que toutes les sensibilités à vos côtés l’admettent car le terrain sur lequel vous évoluez est politique et très stratégique pour la vie nationale. Jamais des dissensions au sein de la CENI ne sont arrivées à ce point alors qu’on se disait qu’avec l’arrivée de NAB, la CENI pouvait davantage consolider sa maturité acquise après l’élection présidentielle de 2015 qui n’a pas subi de contestation. Dommage qu’on en soit là !