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Auditions du putsch de 2015 : « J’avais peur du RSP », lieutenant-colonel Mamadou Bamba

27 septembre 2018, 12:25, par Ka

Aux internautes Wendmi et le Financier : Il y a aussi une certitude divine qui dit que l’on récolte toujours sur terre ce que l’on a semé. Si aujourd’hui le Bamboula dit Bamba veut se prendre pour un ange, c’est comme disait Chantal Compaoré le 12 Octobre 1988 lors d’un entretien avec ‘’Jeune Afrique’’, qu’elle et son mari Blaise compaoré ne voient aucune utilité de retenir quelque chose de leur prédécesseur Thomas Sankara. (Jeune Afrique 1449, du 12 Octobre 1988.)

Bamba aujourd’hui pour sauver sa peau, oublie de nous dire sa complicité avec la jeune employée comme secrétaire au secrétariat Générale des CDR qui était Fatou Diendéré, comme Safy Nana mes pionnières de la révolution inachevée de l’idéologue Thomas Sankara. Cette complicité de l’époque et les ruses de détruire l’autre qui était l’équipe Diendéré Gilbert, les a suivi d’Octobre 1987 jusqu’à ce coup d’état si bête dont Fatou et Gilbert avec leur valet Dao, n’ont pas hésité à faire appel au caméléon ignorant nommé Bamboula Bamba. L’honorable Pierre Ouédraogo, initiateur des CDR ne me dira pas le contraire, ni de ce qu’ avancent les deux internautes de ce qui se cache réellement derrière celui qui, bêtement a la télé, lisait un communiqué qui va lui envoyer a la potence, car il est plus coupable que Dao et les autres, il était conscient de ce qu’il lisait.
Dire qu’il avait peur du RSP, c’est de prendre les juges pour des idiots : Car il savait en quittant a la télévision, que ses complices de longue date qui est le couple Diendéré et le jeune Dao le mercenaire et complice de trafique de drogue du RSP, allaient lui tendre l’enveloppe de dix millions a partagé.

Aujourd’hui il se rend compte qu’il n’est pas un bon militaire, mais un individu né pour trahir lui-même et les autres. ‘’C’est pourquoi Paul de Sartre le plus grand des apôtres au service de Jésus, après la persécution des disciples de Jésus eût à payer le prix fort de ses meurtres, malgré son ardeur au service de l’œuvre de Dieu.’’ Ainsi se termine le parcours du bamboula qui se croyait plus rusé que DAO. C’est aussi l’âme de Boukary Dabo qui se réveille, comme un de ses bourreaux mort mystérieusement dans un hôtel a Paris.


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