Commune rurale de Karangasso-Vigué : Un affrontement entre populations et koglwéogo fait trois morts et de nombreux blessés
13 septembre 2018, 19:51, par
Le vigilant du Sahel
Tout digne burkinabè doit mener ses activités dans le respect des droits d’autrui. Ne dit-on pas que la liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres ? Nous savons que le patrimoine de l’Etat appartient à tout le monde. Est-ce pour autant que chaque burkinabè s’arroger le droit d’arrêter un véhicule fond rouge où et quand il veut pour faire ses courses ?. Cela dit, nous devons respecter la culture de chaque région, nous devons respecter les engagements pris et les lois de Faso. Les Koglwéogo, tout comme les dozos ne font pas parties des forces de sécurité républicaines. Chaque entité devrait évoluer dans sa zone de proximité et non vouloir s’implanter partout au Burkina de gré ou de force. Simon COMPAORE avait rassuré ceux de l’Ouest du Burkina que les Kolgwéogo n’opéreront pas là où ils ne sont pas les bienvenus. A-t-on besoin de ce spectacle macabre ? Si la lutte contre les vols se confond à la banalisation de la vie humaine, il y a lieu de s’interroger et de s’inquiéter sérieusement sur notre devenir commun.
Tout digne burkinabè doit mener ses activités dans le respect des droits d’autrui. Ne dit-on pas que la liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres ? Nous savons que le patrimoine de l’Etat appartient à tout le monde. Est-ce pour autant que chaque burkinabè s’arroger le droit d’arrêter un véhicule fond rouge où et quand il veut pour faire ses courses ?. Cela dit, nous devons respecter la culture de chaque région, nous devons respecter les engagements pris et les lois de Faso. Les Koglwéogo, tout comme les dozos ne font pas parties des forces de sécurité républicaines. Chaque entité devrait évoluer dans sa zone de proximité et non vouloir s’implanter partout au Burkina de gré ou de force. Simon COMPAORE avait rassuré ceux de l’Ouest du Burkina que les Kolgwéogo n’opéreront pas là où ils ne sont pas les bienvenus. A-t-on besoin de ce spectacle macabre ? Si la lutte contre les vols se confond à la banalisation de la vie humaine, il y a lieu de s’interroger et de s’inquiéter sérieusement sur notre devenir commun.