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An1 de la disparition de Salif Diallo : « Il n’était ni un saint, ni un diable » Jacob Ouédraogo, ambassadeur du Burkina Faso au Sénégal

22 août 2018, 09:32, par A qui la faute ?

C’est trop facile. C’est pourquoi les récents régimes institutionnalisent le pardon (médiateur du Faso, journée du pardon, haut conseil de la réconciliation, etc). Si le pardon doit être accordé d’office, pourquoi demander ? Si le pardon est demandé à quelqu’un qui à été "gigouillé" à quoi ça sert ? Si le pardon est demandé tout en gardant les milliards qui font l’objet de ce pardon, n’est-ce pas la moquerie surtout que de la part de gens qui se reventique communistes/socialistes ?
Il faut choisir entre vivre dans une république avec la justice comme régulateur ou dans une monarchie réligieuse avec le ciel comme justice.


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