Intronisation d’un Chef de terre (Tengsoba) à Manéga : Quand la mort côtoie la vie
13 août 2018, 07:30, par
AMKOULEL
J’ai aimé le récit, en général, du journaliste et la tenue de pareille cérémonie. Nos traditions millénaires sont les seuls boucliers qui peuvent nos sauver dans cette vie et l’autre monde. Juste une petite remarque : J’ai senti un ton anxiogène dans l’article, ce qui est normal d’un NON initié, mais cela témoigne que nous, notre jeune génération, est en train de louper un pan entier de nos traditions, l’initiation. Comment peut-on remédier à cela ? Il faut que collectivement, nous arrivons à instituer l’initiation à nos traditions à nos enfants. C’est la seule voie, à mon sens, pour construire de nouvelles générations de Burkinabé et d’Africains conscientes de leur mission et armées pour le combat afin d’assurer notre place dans le concert des nations.
J’ai aimé le récit, en général, du journaliste et la tenue de pareille cérémonie. Nos traditions millénaires sont les seuls boucliers qui peuvent nos sauver dans cette vie et l’autre monde. Juste une petite remarque : J’ai senti un ton anxiogène dans l’article, ce qui est normal d’un NON initié, mais cela témoigne que nous, notre jeune génération, est en train de louper un pan entier de nos traditions, l’initiation. Comment peut-on remédier à cela ? Il faut que collectivement, nous arrivons à instituer l’initiation à nos traditions à nos enfants. C’est la seule voie, à mon sens, pour construire de nouvelles générations de Burkinabé et d’Africains conscientes de leur mission et armées pour le combat afin d’assurer notre place dans le concert des nations.