Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
« On ne va pas dénoncer les risques de fraude et, à un moment donné, cautionner les possibilités qui y concourent ! », la majorité présentielle à l’opposition politique
3 août 2018, 10:05, par
souklosso
Personnellement je ne vois pas en quoi le fait que des Burkinabé ne soient pas autorisés à voter avec leurs cartes scolaires fait d’eux des CITOYENS DE SECONDE ZONE. La mauvaise foi se situe au niveau du CFOP. Je ne comprends pas pourquoi c’est sur les Burkinabé résidant en Côte d’Ivoire que le débat se focalise. On parle comme si ces derniers sont une propriété de l’opposition. Même le pouvoir en place a des militants détenteurs de la carte consulaires et qui pourront donc pas voter s’ils n’ont pas leur CNIB ou le passeport. Ici il est beaucoup plus question de la crédibilité des scrutins à venir. Si je suis SANOGO ; OUATTARA ; TRAORE ; ......... et que je me fais établir une carte consulaire est-ce suffisant pour dire que je suis Burkinabé. Même si la carte est fiable parce qu’elle permet de m’identifier, je peux avoir triché sur mes origines. Par exemple je suis Maliens ou Ivoirien et comme j’ai un nom de famille qu’on retrouve au Burkina je ma fais passer pour un Burkinabé. Voici un des problèmes qui se posent avec la carte consulaire. Les représentants de l’opposition que j’ai écouté sur le plateau de l’émission controverse hier remettaient en doute la fiabilité de la CNIB, parce que pour eux l’Etat peut faire fabriquer de fausses CNIB. Mais ils semblent faire confiance à la structure basée en Côte d’Ivoire (chez les beaux parents de l’autre). Ce débat est simplement malsain et ne devrait pas avoir lieu.
Personnellement je ne vois pas en quoi le fait que des Burkinabé ne soient pas autorisés à voter avec leurs cartes scolaires fait d’eux des CITOYENS DE SECONDE ZONE. La mauvaise foi se situe au niveau du CFOP. Je ne comprends pas pourquoi c’est sur les Burkinabé résidant en Côte d’Ivoire que le débat se focalise. On parle comme si ces derniers sont une propriété de l’opposition. Même le pouvoir en place a des militants détenteurs de la carte consulaires et qui pourront donc pas voter s’ils n’ont pas leur CNIB ou le passeport. Ici il est beaucoup plus question de la crédibilité des scrutins à venir. Si je suis SANOGO ; OUATTARA ; TRAORE ; ......... et que je me fais établir une carte consulaire est-ce suffisant pour dire que je suis Burkinabé. Même si la carte est fiable parce qu’elle permet de m’identifier, je peux avoir triché sur mes origines. Par exemple je suis Maliens ou Ivoirien et comme j’ai un nom de famille qu’on retrouve au Burkina je ma fais passer pour un Burkinabé. Voici un des problèmes qui se posent avec la carte consulaire. Les représentants de l’opposition que j’ai écouté sur le plateau de l’émission controverse hier remettaient en doute la fiabilité de la CNIB, parce que pour eux l’Etat peut faire fabriquer de fausses CNIB. Mais ils semblent faire confiance à la structure basée en Côte d’Ivoire (chez les beaux parents de l’autre). Ce débat est simplement malsain et ne devrait pas avoir lieu.