Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Révision du code électoral : L’UNIR-PS appelle ses députés à voter pour le projet de loi
30 juillet 2018, 09:02, par
Tapsoba R(de H)
Inconstance de ZEPH .Raffraississons les mémoires de certains :
"Mémorandum de l’opposition politique daté du 14 novembre 2013 adressé au Président Blaise Compaoré et signé par Zéphirin Diabré,Président de l’UPC, chef de file de l’opposition politique.
(...)
9- Le Vote des burkinabè de l’étranger.
La loi a consacré le droit des burkinabè de l’étranger à prendre part à certaines consultations électorales se déroulant sur le territoire national. Après s’être longtemps abstenu de rendre ce droit effectif, le Gouvernement, depuis quelques temps, développe des initiatives qui, en plus d’être unilatérales, n’augurent rien de bon pour ce qui est de la tenue d’un scrutin transparent et crédible.
La délivrance des cartes consulaires dans des pays comme la Côte d’Ivoire pose de sérieux problèmes dont deux nous paraissent devoir être évoqués :
– Le prix de la carte consulaire, fixé à 7000 Francs, est de notre avis, trop élevé. Rien ne peut expliquer un tel niveau de prix lorsqu’on connait les coûts de fabrication de ce genre de documents à travers le monde ;
– L’opérateur retenu, ne parait pas offrir toutes les garanties de compétence, de neutralité et de probité pour qu’on mette ainsi à sa disposition l’important fichier des burkinabè de Côte d’Ivoire. Le Gouvernement doit fournir des explications sur le processus ayant abouti à ce choix."
Inconstance de ZEPH .Raffraississons les mémoires de certains :
"Mémorandum de l’opposition politique daté du 14 novembre 2013 adressé au Président Blaise Compaoré et signé par Zéphirin Diabré,Président de l’UPC, chef de file de l’opposition politique.
(...)
9- Le Vote des burkinabè de l’étranger.
La loi a consacré le droit des burkinabè de l’étranger à prendre part à certaines consultations électorales se déroulant sur le territoire national. Après s’être longtemps abstenu de rendre ce droit effectif, le Gouvernement, depuis quelques temps, développe des initiatives qui, en plus d’être unilatérales, n’augurent rien de bon pour ce qui est de la tenue d’un scrutin transparent et crédible.
La délivrance des cartes consulaires dans des pays comme la Côte d’Ivoire pose de sérieux problèmes dont deux nous paraissent devoir être évoqués :
– Le prix de la carte consulaire, fixé à 7000 Francs, est de notre avis, trop élevé. Rien ne peut expliquer un tel niveau de prix lorsqu’on connait les coûts de fabrication de ce genre de documents à travers le monde ;
– L’opérateur retenu, ne parait pas offrir toutes les garanties de compétence, de neutralité et de probité pour qu’on mette ainsi à sa disposition l’important fichier des burkinabè de Côte d’Ivoire. Le Gouvernement doit fournir des explications sur le processus ayant abouti à ce choix."