Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
République du Soudan : projecteurs sur la communauté burkinabè avec Dr Moustapha Ouédraogo
20 juillet 2018, 15:49, par
jeunedame seret
Attention ! À toi Yacouba et à ce Ouédraogo et à moi. Ne désespérons trop de nos fesses et anus. Car rien n’est pourri dedans. Nos bars et maquis, ce sont d’abord des entreprises qui emploient et soulagent. Il y a des échanges et réflexions discrètes dans les bars.S’il comprend vraiment le sens de l’entreprise et s’il dit vrai de lui au Soudan, mr Ouédraogo doit parler doucement de ces bars et maquis. Ils ne sont pas la cause de notre absence de créativité. Mais c’est notre système éducatif. Il y a des maisons de massage, de drogue de passe, des prostituées de 12 ans et d’alcool, sur les boulevards des pays développés. Mais chacun sait quand y aller ; et combien de temps et d’argent y mettre. Ne blâmons pas les bars et maquis. Nous n’avons rien d’abord à les remplacer. Et notre éducation ne commencera pas la négation des efforts d’entreprise des autres. Mais la confiance et l’estime de soi. Mr Ouédraogo, il ne suffit pas de rencontrer nos politiciens pour sortir insulter les Burkinabè. Qui et qui a l’argent pour bar ? Le bar est-il plus distrayant que la rue ou le bruit de marché où pavaner ? Au Soudan n’y a t-il pas de bar ? Si le Soudan est vraiment aussi pacifique, habitable, et sécurisé comme mon Tampouy, je tâcherai de vous croiser un jour pour un sondage ouvert.
Attention ! À toi Yacouba et à ce Ouédraogo et à moi. Ne désespérons trop de nos fesses et anus. Car rien n’est pourri dedans. Nos bars et maquis, ce sont d’abord des entreprises qui emploient et soulagent. Il y a des échanges et réflexions discrètes dans les bars.S’il comprend vraiment le sens de l’entreprise et s’il dit vrai de lui au Soudan, mr Ouédraogo doit parler doucement de ces bars et maquis. Ils ne sont pas la cause de notre absence de créativité. Mais c’est notre système éducatif. Il y a des maisons de massage, de drogue de passe, des prostituées de 12 ans et d’alcool, sur les boulevards des pays développés. Mais chacun sait quand y aller ; et combien de temps et d’argent y mettre. Ne blâmons pas les bars et maquis. Nous n’avons rien d’abord à les remplacer. Et notre éducation ne commencera pas la négation des efforts d’entreprise des autres. Mais la confiance et l’estime de soi. Mr Ouédraogo, il ne suffit pas de rencontrer nos politiciens pour sortir insulter les Burkinabè. Qui et qui a l’argent pour bar ? Le bar est-il plus distrayant que la rue ou le bruit de marché où pavaner ? Au Soudan n’y a t-il pas de bar ? Si le Soudan est vraiment aussi pacifique, habitable, et sécurisé comme mon Tampouy, je tâcherai de vous croiser un jour pour un sondage ouvert.