Du Burkina Faso et des Burkinabè : Nous sommes burkinaBÈ, pas burkinaBÉ ni burkinais, ni burkinabaises, ni burkina-fassiens
22 août 2018, 10:04, par
Toutdemême
Merci à vous, Monsieur l’inspecteur. Il est en effet extrêmement irritant d’entendre le nom de notre pays ou de ses habitants écorché, par ignorance ou à dessein (je m’en suis déjà plaint). L’on peut comprendre que la décision politique de rebaptiser le pays et ses habitants ne soit pas du goût de tout le monde. Si les pères des nouveaux noms ont pris le soin d’expliquer, ce n’est pas pour rien. Les avocats du diable devraient faire la nuance entre le fait de traduire le nom d’un pays d’une langue à une autre (ce que certains pays d’ailleurs refusent) et écorcher le nom d’un pays ou de ses habitants. Il me revient à l’esprit ce film Kunta Kinte, où le jeune héros rejette catégoriquement le nom que veut lui imposer son maître esclavagiste. Comprenne qui peut !
Merci à vous, Monsieur l’inspecteur. Il est en effet extrêmement irritant d’entendre le nom de notre pays ou de ses habitants écorché, par ignorance ou à dessein (je m’en suis déjà plaint). L’on peut comprendre que la décision politique de rebaptiser le pays et ses habitants ne soit pas du goût de tout le monde. Si les pères des nouveaux noms ont pris le soin d’expliquer, ce n’est pas pour rien. Les avocats du diable devraient faire la nuance entre le fait de traduire le nom d’un pays d’une langue à une autre (ce que certains pays d’ailleurs refusent) et écorcher le nom d’un pays ou de ses habitants. Il me revient à l’esprit ce film Kunta Kinte, où le jeune héros rejette catégoriquement le nom que veut lui imposer son maître esclavagiste. Comprenne qui peut !