Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Extradition de François Compaoré : Tout sur l’arrêt du 13 juin 2018 portant demande de complément d’information
17 juin 2018, 12:10, par
caca
Je pense qu’il est temps de tourner la page des frères Compaoré. Ils ont déjà été humiliés dans leur intégrité. Les poursuivre comme des rats sauvages, c’est aussi manquez de l’humanisme. Quand tu connais comment marche la justice française, ça sera difficile que cette demande soit objective. Comme l’avocat de la défense l’a déjà exprimé la demande a été mal formulée. En écoutant le débat de presse du Burkina, on peut comprendre que les gens sont sous informés concernant la justice française. Certains pensaient qu’en demandant l’extradition de François Compaoré, la justice burkinabé ne devait pas apporter les preuves matérielles de son implication. En plus,il commets l’erreur d’omission car c’est le même avocat qui avait défendu François Compaoré au Burkina qui est encore de conseiller en France. C’est un avocat bien renseigner sur ce dossier là. Les autorités judiciaires burkinabé aussi ont manqués à leur devoir. Quand tu lis le fond du dossier de la demande,le juge burkinabé méconnaissait la procédure, et la forme suscite un certain nombre de question. Mais comme le dossier est politique, peut-être avec les différents éléments demander, le juge français donnera un avis favorable.
Je pense qu’il est temps de tourner la page des frères Compaoré. Ils ont déjà été humiliés dans leur intégrité. Les poursuivre comme des rats sauvages, c’est aussi manquez de l’humanisme. Quand tu connais comment marche la justice française, ça sera difficile que cette demande soit objective. Comme l’avocat de la défense l’a déjà exprimé la demande a été mal formulée. En écoutant le débat de presse du Burkina, on peut comprendre que les gens sont sous informés concernant la justice française. Certains pensaient qu’en demandant l’extradition de François Compaoré, la justice burkinabé ne devait pas apporter les preuves matérielles de son implication. En plus,il commets l’erreur d’omission car c’est le même avocat qui avait défendu François Compaoré au Burkina qui est encore de conseiller en France. C’est un avocat bien renseigner sur ce dossier là. Les autorités judiciaires burkinabé aussi ont manqués à leur devoir. Quand tu lis le fond du dossier de la demande,le juge burkinabé méconnaissait la procédure, et la forme suscite un certain nombre de question. Mais comme le dossier est politique, peut-être avec les différents éléments demander, le juge français donnera un avis favorable.