Coopération médicale : Le CHR de Koudougou, une illustration de la bonne santé de l’amitié taïwano-burkinabè
18 mai 2018, 20:07, par
Nabiiga
Quelle est la politique extérieure de notre pays ? En a-t-on une politique extérieur ? Si ou, quel retombé cherche-t-on de notre politique. L’on peut dire sans risque que la politique extérieur de nombre des pays sub-sahariens est axée sur l’aide au développement et la coopération afin de subvenir aux besoins des populations qui peuplent cette partie de notre continent. Dire autrement sera de l’hypocrisie. Si tel est le cas, que faisons-nous au Taiwan, un pays rebelle que tout le monde fuit. Ça suffit de regarder les pays qui ont terminé leurs relations avec le Taiwan pour comprendre. Le Burkina, lui, y est et souhaite y rester alors que la maison s’est complètement vidée au de lui. La politique extérieur du Taiwan est d’être connu comme un pays à part entière mais l’opposition de la Chine, en voie de devenir la première économie mondiale, à cette notion de pays à part entière, est sans équivoque. Je vois mal pourquoi nous ne devons pas abandonner nos relations avec lui pour nous joindre aux fuyards vers la Chine. Rien que poser la question au Sénégal, au Mali etc. et, notons-le bien, dans tous les pays qui l’ont abandonné, le Taiwan y a construit des palais pour les présidents. Il est temps que nous quittions. Si le Burkina croit qu’il peut manger son gâteau et l’avoir toujours, il est temps de se détromper. C’est clair, l’on ne peut pas entretenir le Taiwan et la Chine en même temps. Cette relation avec le Taiwan ne nous arrange plus
Quelle est la politique extérieure de notre pays ? En a-t-on une politique extérieur ? Si ou, quel retombé cherche-t-on de notre politique. L’on peut dire sans risque que la politique extérieur de nombre des pays sub-sahariens est axée sur l’aide au développement et la coopération afin de subvenir aux besoins des populations qui peuplent cette partie de notre continent. Dire autrement sera de l’hypocrisie. Si tel est le cas, que faisons-nous au Taiwan, un pays rebelle que tout le monde fuit. Ça suffit de regarder les pays qui ont terminé leurs relations avec le Taiwan pour comprendre. Le Burkina, lui, y est et souhaite y rester alors que la maison s’est complètement vidée au de lui. La politique extérieur du Taiwan est d’être connu comme un pays à part entière mais l’opposition de la Chine, en voie de devenir la première économie mondiale, à cette notion de pays à part entière, est sans équivoque. Je vois mal pourquoi nous ne devons pas abandonner nos relations avec lui pour nous joindre aux fuyards vers la Chine. Rien que poser la question au Sénégal, au Mali etc. et, notons-le bien, dans tous les pays qui l’ont abandonné, le Taiwan y a construit des palais pour les présidents. Il est temps que nous quittions. Si le Burkina croit qu’il peut manger son gâteau et l’avoir toujours, il est temps de se détromper. C’est clair, l’on ne peut pas entretenir le Taiwan et la Chine en même temps. Cette relation avec le Taiwan ne nous arrange plus