Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
« Il faut qu’en 2020, les Burkinabè de l’étranger puissent voter », Zéphirin Diabré
19 avril 2018, 23:21, par
Kyelem
« Il faut finir définitivement avec les faux rendez-vous et qu’en 2020, les Burkinabè qui sont à l’étranger puissent voter et exprimer leur devoir civil ».Très bien dit ! En tout cas cette fois-ci, nous sommes prêts à tout pour que 2020 soit une réalité. Entre nous, il faudra dès à présent que les choses soient claires. Il ne faudrait pas qu’après, on nous parle de manque d’argent parce que nous sommes prêts à payer pour bénéficier de ce droit de manière exceptionnelle, bien que nous soyons tous égaux (Burkinabè de l’extérieur comme de l’intérieur). Il ne faudrait pas non plus qu’on nous parle de manque de temps parce que rien ne nous empêche de commencer la sensibilisation et le recensement avant la fin de l’année. De grâce, qu’on arrête de s’amuser avec le devenir des gens à travers des calculs politiciens. Ici au Ghana, les Maliens, les Ivoiriens, les Gabonais, les Tchadiens, les Equato-guinéens et bien d’autres votent. POURQUOI PAS LES BURKINABE ? Est-ce parce que nous sommes moins qu’eux ? Et pourtant, quand il s’agit de participation dans le cadre du développement de notre pays, on demande toujours notre contribution en tant que Burkinabè. « À malin, malin et demi ». En tout cas nous nous sommes mondialement constitués en tant que mouvement et cette fois-ci C’EST LE MOMENT pour nous de faire valoir notre droit. Shalom !
« Il faut finir définitivement avec les faux rendez-vous et qu’en 2020, les Burkinabè qui sont à l’étranger puissent voter et exprimer leur devoir civil ».Très bien dit ! En tout cas cette fois-ci, nous sommes prêts à tout pour que 2020 soit une réalité. Entre nous, il faudra dès à présent que les choses soient claires. Il ne faudrait pas qu’après, on nous parle de manque d’argent parce que nous sommes prêts à payer pour bénéficier de ce droit de manière exceptionnelle, bien que nous soyons tous égaux (Burkinabè de l’extérieur comme de l’intérieur). Il ne faudrait pas non plus qu’on nous parle de manque de temps parce que rien ne nous empêche de commencer la sensibilisation et le recensement avant la fin de l’année. De grâce, qu’on arrête de s’amuser avec le devenir des gens à travers des calculs politiciens. Ici au Ghana, les Maliens, les Ivoiriens, les Gabonais, les Tchadiens, les Equato-guinéens et bien d’autres votent. POURQUOI PAS LES BURKINABE ? Est-ce parce que nous sommes moins qu’eux ? Et pourtant, quand il s’agit de participation dans le cadre du développement de notre pays, on demande toujours notre contribution en tant que Burkinabè. « À malin, malin et demi ». En tout cas nous nous sommes mondialement constitués en tant que mouvement et cette fois-ci C’EST LE MOMENT pour nous de faire valoir notre droit. Shalom !