Demande d’extradition de François Compaoré : Les requérants doivent patienter jusqu’au 13 juin 2018
29 mars 2018, 08:32, par
Maria de Ziniaré
Le dossier a été réouvert par la transition pour connaître un second jugement mais depuis plus de 2 ans on ne nous dit jamais quel est l’Agenda prévu. Quel est la date prévisionnelle pour le procès ?. La seule communication sur le dossier ne porte que sur la demande d’extradition de François alors que l’écosystème de l’affaire Norbert ZONGO ne se réduit pas à l’individu François COMPAORE il y’a d’autres témoins de cette affaire qui peuvent contribuer à la manifestation de la verité . A mon humble avis le nouveau procès doit avoir lieu avec ou sans François et cet dernier peut ne pas être extradé et comme tout mortel il peut être rappelé par qui de droit avant le procès. Alors que la justice traite le dossier avec comme hypothèse que François peut ne pas y être et même s’il y est par bonheur, ce n’est qu’un acteur présumé innocent tant que le tribunal ne l’aura pas condamné sur la base de la matérialité des faits. L’intime conviction du juge sur la base des faits peut ne pas correspondre avec le ressentiment populaire bâti sur des opinions journalistiques. La montagne pourrait accoucher d’une souris.
Le dossier a été réouvert par la transition pour connaître un second jugement mais depuis plus de 2 ans on ne nous dit jamais quel est l’Agenda prévu. Quel est la date prévisionnelle pour le procès ?. La seule communication sur le dossier ne porte que sur la demande d’extradition de François alors que l’écosystème de l’affaire Norbert ZONGO ne se réduit pas à l’individu François COMPAORE il y’a d’autres témoins de cette affaire qui peuvent contribuer à la manifestation de la verité . A mon humble avis le nouveau procès doit avoir lieu avec ou sans François et cet dernier peut ne pas être extradé et comme tout mortel il peut être rappelé par qui de droit avant le procès. Alors que la justice traite le dossier avec comme hypothèse que François peut ne pas y être et même s’il y est par bonheur, ce n’est qu’un acteur présumé innocent tant que le tribunal ne l’aura pas condamné sur la base de la matérialité des faits. L’intime conviction du juge sur la base des faits peut ne pas correspondre avec le ressentiment populaire bâti sur des opinions journalistiques. La montagne pourrait accoucher d’une souris.