Reprise du procès du putsch : Un petit pas en avant, mais jusqu’à quand ?
22 mars 2018, 10:09, par
m’panong yé
Pardonnez moi si je ne comprends rien dans cette histoire de justice. Diendéré a reconnu le coup d’état en prononçant un discours et répondant à une question d’un journaliste au moment des faits, il disait que pour l’instant c’est lui qui est à Kosyam. Pire, il a le culot de venir narguer tout le Burkina (sourire), donc aucun regret, pas même à l’endroit des parents des victimes. Pourquoi, lui, n’a-t-il pas donné cette chance à ces frères d’armes d’alors : Lengani, Zongo et consort de passer devant la justice. Quand la vraie morale se moque de la morale.
A leurs inconditionnels, qu’ils sachent que deux faux généraux ne peuvent pas arrêter la marche radieuse du peuple Burkinabè.
Pardonnez moi si je ne comprends rien dans cette histoire de justice. Diendéré a reconnu le coup d’état en prononçant un discours et répondant à une question d’un journaliste au moment des faits, il disait que pour l’instant c’est lui qui est à Kosyam. Pire, il a le culot de venir narguer tout le Burkina (sourire), donc aucun regret, pas même à l’endroit des parents des victimes. Pourquoi, lui, n’a-t-il pas donné cette chance à ces frères d’armes d’alors : Lengani, Zongo et consort de passer devant la justice. Quand la vraie morale se moque de la morale.
A leurs inconditionnels, qu’ils sachent que deux faux généraux ne peuvent pas arrêter la marche radieuse du peuple Burkinabè.