Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Le rêve africain de Thomas SANKARA : produisons ce que nous consommons et consommons ce que nous produisons
18 janvier 2018, 16:49, par
fc
"produisons ce que nous consommons et consommons ce que nous produisons". Oui, mais, faut-il encore produire sans s’empoisonner avec les pesticides produits par les multinationales ? produire sans OGM pour respecter le principe de précaution. Produire sans détruire l’environnement ! produire pour une nourriture saine et nutritive sans résidus de pesticides et autres produits chimiques qui nous tuent à petit feu comme les cancers, etc. Produire sans détruire la biodiversité ! Produire en comptant d’abord sur nos propres ressources et réduire au maximum les importations massives de vieux riz par exemple et, d’intrants dangereux et de mauvaises qualités. Soutenons des entreprises artisanales capable de produire nos propres intrants comme le compost pour fertiliser nos sols.... Voilà, le sens profond de l’idée de Sankara qui voulait faire de Pierre Rabhi son ministre de l’agriculture. Si cela avait été le cas, le Burkina aurait aujourd’hui un tout autre visage. Il suffit d’ailleurs de voir Cuba qui nourrit sainement sa population grâce à l’agroécologie. Arrêtons de rêver avec les oeillères des occidentaux qui pillent nos richesses comme notre or et ne profitent pas à la population empoisonnée !
"produisons ce que nous consommons et consommons ce que nous produisons". Oui, mais, faut-il encore produire sans s’empoisonner avec les pesticides produits par les multinationales ? produire sans OGM pour respecter le principe de précaution. Produire sans détruire l’environnement ! produire pour une nourriture saine et nutritive sans résidus de pesticides et autres produits chimiques qui nous tuent à petit feu comme les cancers, etc. Produire sans détruire la biodiversité ! Produire en comptant d’abord sur nos propres ressources et réduire au maximum les importations massives de vieux riz par exemple et, d’intrants dangereux et de mauvaises qualités. Soutenons des entreprises artisanales capable de produire nos propres intrants comme le compost pour fertiliser nos sols.... Voilà, le sens profond de l’idée de Sankara qui voulait faire de Pierre Rabhi son ministre de l’agriculture. Si cela avait été le cas, le Burkina aurait aujourd’hui un tout autre visage. Il suffit d’ailleurs de voir Cuba qui nourrit sainement sa population grâce à l’agroécologie. Arrêtons de rêver avec les oeillères des occidentaux qui pillent nos richesses comme notre or et ne profitent pas à la population empoisonnée !