Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Réduction du train de vie de l’Etat : Voici les propositions de l’Enseignant-Chercheur, Guinko Ferdinand
8 janvier 2018, 18:20, par
HESIRO
Merci à l’auteur pour ses proposions. Seulement je relève tout comme certains l’on signifier un manque d’impartialité dans les propositions pour une question aussi sensible que celles-ci. Dans l’histoire des faits économiques et particulièrement en liens avec la gestion des États, les mesures drastiques préconisées n’ont jamais apportées de solutions appropriées encore moins durables, surtout lorsqu’elles visent la réduction des systématique des salaires des fonctionnaires. Lorsqu’une telle mesure est préconisée, cela entraine un état de psychose qui se généralise au regard du rôle central que jouent ces derniers dans gestion de l’État dont la fonction est essentiellement sociale et économique. Dès lors, il y’a une méfiance à dépenser le moindre francs détenu ; d’où une lenteur dans la vitesse de circulation de la monnaie. Ce qui paralyse l’activité économique et plonge le pays dans le chaos si une contre mesure n’est pas vite prise. John Maynard Keynes, pour juguler la crise de 1929 avait préconisé une hausse des dépenses de la part de l’État central. Après une crise d’environ une décennie Alassane D. OUATTARA pour relancer l’activité économique a eu recours à plusieurs augmentation des salaires de l’ensemble des fonctionnaires.
Pour réduire le train de vie de l’État, il faudra entre autres :
être strict dans la gestion des marchés publics depuis la sélection des prestataires jusqu’à l’exécution finale à travers la qualité du prestataire et le respect du délai d’exécution,
mettre fin à l’exécution à vie et/ou sans durée d’achèvement de certain projets. Aussi faudra-t-il garantir la maturité des projets avant leur exécution.
Bien d’autres mesures pourront être proposées....
Merci à l’auteur pour ses proposions. Seulement je relève tout comme certains l’on signifier un manque d’impartialité dans les propositions pour une question aussi sensible que celles-ci. Dans l’histoire des faits économiques et particulièrement en liens avec la gestion des États, les mesures drastiques préconisées n’ont jamais apportées de solutions appropriées encore moins durables, surtout lorsqu’elles visent la réduction des systématique des salaires des fonctionnaires. Lorsqu’une telle mesure est préconisée, cela entraine un état de psychose qui se généralise au regard du rôle central que jouent ces derniers dans gestion de l’État dont la fonction est essentiellement sociale et économique. Dès lors, il y’a une méfiance à dépenser le moindre francs détenu ; d’où une lenteur dans la vitesse de circulation de la monnaie. Ce qui paralyse l’activité économique et plonge le pays dans le chaos si une contre mesure n’est pas vite prise. John Maynard Keynes, pour juguler la crise de 1929 avait préconisé une hausse des dépenses de la part de l’État central. Après une crise d’environ une décennie Alassane D. OUATTARA pour relancer l’activité économique a eu recours à plusieurs augmentation des salaires de l’ensemble des fonctionnaires.
Pour réduire le train de vie de l’État, il faudra entre autres :
être strict dans la gestion des marchés publics depuis la sélection des prestataires jusqu’à l’exécution finale à travers la qualité du prestataire et le respect du délai d’exécution,
mettre fin à l’exécution à vie et/ou sans durée d’achèvement de certain projets. Aussi faudra-t-il garantir la maturité des projets avant leur exécution.
Bien d’autres mesures pourront être proposées....