Région du Sahel : La brigade de gendarmerie de Déou attaquée par des individus non-identifiés
25 décembre 2017, 10:38, par
Ancien
S’ils ont emporté des armes et un véhicule c’est très grave, Déou étant à plus de 50 km de la frontière malienne et abritant un détachement militaire plus un commissariat de police. En principe, quelqu’un qui attaque Déou et qui s’en sort c’est inquiétant. Oursi n’est pas si loin et abritant aussi un détachement, une gendarmerie et un commissariat. Profitons pour relever qu’il est inexplicable qu’il n’ait pas un détachement militaire à ARBINDA. qui est un carrefour se trouvant sur l’axe Dori Djibo et l’oudalan le centre nord.
Enfin, il est important que les fds identifient toutes les pistes de repli en cas d’attaque de tous les villages du soum et de l’oudalan. Prenons Déou. Il faut identifier toutes les pistes d’arrivée et de repli des casernes et du village. Il faut apprendre à couper toutes les pistes à chaque attaque. C’est l’un des moyens susceptibles de minimiser les attaques.
S’ils ont emporté des armes et un véhicule c’est très grave, Déou étant à plus de 50 km de la frontière malienne et abritant un détachement militaire plus un commissariat de police. En principe, quelqu’un qui attaque Déou et qui s’en sort c’est inquiétant. Oursi n’est pas si loin et abritant aussi un détachement, une gendarmerie et un commissariat. Profitons pour relever qu’il est inexplicable qu’il n’ait pas un détachement militaire à ARBINDA. qui est un carrefour se trouvant sur l’axe Dori Djibo et l’oudalan le centre nord.
Enfin, il est important que les fds identifient toutes les pistes de repli en cas d’attaque de tous les villages du soum et de l’oudalan. Prenons Déou. Il faut identifier toutes les pistes d’arrivée et de repli des casernes et du village. Il faut apprendre à couper toutes les pistes à chaque attaque. C’est l’un des moyens susceptibles de minimiser les attaques.